< la princesse a quitté le royaume d'hathène>
Voilà plus de deux jours que cette phrase résonnait dans son cerveau.
Il arpentait son bureau comme un fou et sous le regard de ses deux hommes
Zafir : mon roi vous devriez vous calmer
Assad:COMMENT PUIS-JE ?
Mourad : excusez mes paroles mais n'aviez vous pas dit qu'elle ne représentait plus rien pour vous
Assad: SORTEZ!
zafir : je.....
Assad: PARTEZ AVANT QUE MA COLÈRE NE S'ABATTE SUR VOUS JE VOUS CONTACTEREZ SI JAMAIS J'AI BESOIN DE VOUS !
Ils quittèrent tout deux le bureau.
Assad se posa sur son fauteuil en se rappelant des paroles du roi karil
- ma fille a quitter le royaume parce qu'elle ne se sentait plus en sécurité à cause d'un homme comme toi.
D'abord tu nous a prit notre bien précieux ensuite tu as tenter de l'assassiner et maintenant tu viens comme si de rien été exiger de la voir.
Sa ne marche pas comme ça assad ben ahlaf El ******* . Va t'en et ne reviens plus jamais parce que Amara est loin de toi et de ta cruautéAssad: comment peux-tu me faire ça ?
Il serra encore plus les points avant que la porte de son bureau ne s'ouvre sur une Karima en mode comme ça
- je sais que tu souffres à cause de cette femme. Je ne te demande pas de m'épouser non juste laisse moi être une amie et je m'occuperai de tout les responsabilité de l'ancienne reine.
Assad la fixa un long moment avant de répondre
- pourquoi pas après tout tu es la seule qui ne m'ait jamais trahie.
À compter de se jour tu géreras l'aile du palais réserver aux femmes et aux enfantsKarima : tu ne le regretteras pas
Assad: j'espère parce que crois moi je n'aurais pas de pitié si .................
Karima : je ne te trahirais jamais assad
Elle vînt jusqu'à lui et le prît dans ses bras en se collant à lui.
Celui-ci l'écarta doucement puis s'éclipsa
Karima : ce n'est qu'une question de temps assad et je jure que tu seras à moi.
Elle alla ensuite rejoindre la gouvernante
Zaima : salutations à vous ma princesse désirez-vous quelque chose.
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PRINCESSE Amara: POUR L'HONNEUR DE LA TRADITION
Romanceroyaume culture tout est une question de culture