La jeune fille égarée

Apprendre à vivre en collectivité

Pdv narrateur :
Ayame fait désormais partie de l'akatsuki. Elle sera en équipe avec kisame et Itachi. Elle va apprendre à vivre en collectivité, vivre avec eux comme une famille, va lui faire rappeler des souvenirs quand elle était chez elle avec son entourage qui était chaleureuse avant que ce jour fatidique n'arrive.

Le lendemain matin.

Pdv kisame :
Il est 10 heures est Ayame dort encore. Elle n'est pas très matinale. Je vais devoir la réveiller.

Kisame : Ayame, réveille toi il est l'heure ! En la secouant en douceur
Ayame : mmmh, oui j'arrive papa...
Kisame : Heu... T'es à l'akatsuki... C'est kisame. En ricanant amusé.
Ayame redresse la tête rapidement en constatant que ce n'était malheureusement pas un rêve. Son père avait pour habitude de la réveiller pour aller s'entraîner. Confus elle ce lev rapidement. Elle est rouge gêner.
Ayame : kisame désolé, je n'ai pas vu l'heure. En se précipitant pour chercher ces vêtements.
Kisame : j'ai vu ça, je te laisse t'habiller. Le chef organise une réunion à 10:30. Si tu as le malheur d'arriver en retard, tu auras le même sort que Hidan hier soir.
Ayame : oui, effectivement, il faut que je me dépêche. Merci de m'avoir réveillé.
Kisame quitte la chambre.

Pdv kisame :
Je la trouve plus tôt mignonne quand elle rougit. Elle est plus tôt des belles courbes et des beaux cheveux. Tien, il y a Itachi assi avec un thé à la main avec un livre comme à son habitude.
Kisame s'installe à côté de lui.
Itachi: tu as réveillé Ayame ?
Kisame : oui, je l'ai réveillé, je n'avais pas envie de la tout égratigné avec les explications de Deidara alors qu'elle vient tout juste arriver.
Itachi : oui, ça serait dommage.
Kisame : sinon comment te sens tu n'as plus de séquelles de ta maladie ?
Itachi : non, je n'ai plus aucune trace. J'ai retrouvé une nouvelle jeunesse et j'ai une très bonne vue. C'est incroyable ce qu'elle peut faire.
Kisame : j'ai entendu dire que Pain prévoie un entraînement. Tu vas en surprendre plus d'un.
Itachi : oui, je vais pouvoir leur montrer ma véritable force.

Pdv Ayame :
Il faut que je me dépêche de me préparer et de prendre mon petit-déjeuner sinon je vais me faire exploser par le blond.
Une fois prête elle quitte la chambre.
En sortant, elle croise Hidan.

Hidan : salut belle au bois dormant, bien dormi ?
Ayame : oui bien dormi et toi ?

Pdv Ayame : ho non pas lui. Pour une fois, il n'a pas de regard pervers.

Hidan : j'ai rêvé de toi donc oui, j'ai bien dormi.
Ayame : tu ne perds pas le nord toi...
Hidan: ce n'est pas ma faute si tu es mignonne.
Ayame : heu merci...
Hidan : eu écoute, je suis désolée si je me suis comporté comme un idiot au début, je voudrais qu'on recommence à zéro, qu'on soit ami enfin si possible ?
Ayame : ho bien sûr.
Hidan : fantastique. Hâte de faire un rituel avec toi un jour.
Ayame : de même en souriant.

Pour une fois dans sa vie, Hidan a mis sa fierté de côté pour pouvoir mieux s'approcher d'Ayame. S'il veut que sa fonction, il doit apprendre à reconnaître ces erreurs et à mûrir. C'est une étape dure pour ce Jashiniste.

Flash back hier soir dans la chambre de kakuzu et de Hidan.
Hidan : kakuzu, je ne comprends pas.
Kakuzu : quoi donc ? C'est bien rare que tu m'appelles par mon prénom. Il pose son journal.
Hidan : c'est Ayame, je voudrais bien me rapprocher d'elle, mais elle me recale pour quoi ?
Kakuzu : a ton avis tu, ce n'est pas la première fille que tu dragues et tu te demandes encore pour quoi ? Tu me désespères...
Hidan : hé, je ne te demande pas de me juger, mais pour m'aider.
Kakuzu soupir : le problème avec toi quand tu trouves une fille à ton goût tu leurs sautes littéralement déçues et tu les dragues ouvertement avec un regard pervers. Pas étonnant que tu n'as pas de succès avec les filles.
Hidan : ha ok... Je ne l'imaginais pas comme ça.
Kakuzu : maintenant oui
Hidan : mais je fais quoi pour Ayame.
Kakuzu : déjà, commence par t'excuser et évite les techniques de drague et commence par être ami pour commencer.
Hidan : m'excuser, c'est impensable !! Étonnée
Kakuzu: c'est ta fierté où elle, à toi de voir si tu veux mûrir.
Hidan : bon ok, je vais faire un effort.
Fin du flash-back