Parle-moi// Spiderman (Tome 2)

Chapitre - 5 Sentiments étrange

Quelques mois plus tard, j'étais tous installés dans mon nouvel appartement, tante Pen était également partie en voyage. La dernière fois que j'ai entendu parler d'elle, elle était en Italie pour explorer le Colisée et manger autant de glaces qu'elle pouvait mettre la main sur. On dirait qu'elle passait un moment incroyable. Ce n'était peut-être pas une si mauvaise idée à la fin.

De bonnes nouvelles, ce qui est assez rare dans ma vie comme vous le savez, j'ai obtenu ma place à l'Université de New York. Non seulement je me spécialiserai en physique, mais je me suis également décroché un petit emploi à temps partiel dans le laboratoire scientifique du campus. Pas très différent de ce que je faisais auparavant, mais ce n'était pas Oscorp. C'était un plus.

J'avais laissé tante Penny participer aux développements et, par conséquent, elle m'a laissé contourner toute la question de l'emploi d'été. Voyant que je ferais un travail rémunéré à l'Université de New York, elle a dit que je devrais juste profiter de l'été. Il y avait assez d'argent dans le pot pour m'en sortir. Dommage que je n'aie pas eu beaucoup de gens avec qui profiter de l'été. Gwen a été une aubaine.

Dire qu'elle m'avait rendu visite lors de mes nouvelles fouilles à quelques reprises serait le euphémisme du millénaire. Elle s'était pratiquement installée. Tout a commencé par l'étrange sommeil ici et là. Nous regardions les comédies romantiques des années 90, sortions à emporter et mangions de la crème glacée jusqu'à ce que nous vomissions pratiquement. Si je suis honnête, je pense que nous essayions tous les deux de nous distraire et de nous distraire. Gwen était toujours confrontée à la perte de son père. J'avais affaire à toute la situation de Pete.

Rappelez-vous, Gwen connaissait maintenant Peter, connaissait son secret. J'avais fait un travail assez merdique pour garder les lèvres serrées pendant tout le fiasco de Connor. J'ai fait confiance à Gwen plus que quiconque, donc ce n'était pas un problème trop grave. En fait, c'était assez bon. Cela signifiait qu'il y avait enfin quelqu'un avec qui je pouvais parler complètement honnêtement. Je n'ai rien eu à laisser de côté. En conséquence, lorsque Gwen m'a découvert et que Pete a rompu pour de bon cette fois-ci, elle s'est empressée de proclamer qu'elle était d'accord avec lui. Elle a dit que le fait d'être avec Spider-Man m'a mis en danger et qu'elle ne pouvait survivre en perdant personne d'autre. Nous étions passés d'en parler tout le temps, à le mentionner de temps en temps, à ne même pas reconnaître son existence. Son nom est devenu comme Voldemort dans Harry Potter "celui qui ne doit pas être nommé".

"Gwen, ta mère ne va-t-elle pas commencer à te manquer bientôt ? Vous n'êtes pas rentré à la maison depuis environ 5 jours." J'ai demandé à ma meilleure amie un lundi matin pendant que je la regardais se préparer au travail.

"Elle veut juste que je sois heureux. Être avec mon meilleur ami le fait. Je rentrerai cependant à la maison ce soir. Pourquoi ne viens-tu pas dîner ? Je suis sûr qu'elle ne lui dérangerait pas."

"Non, je te laisserai passer une soirée en famille. D'ailleurs, c'est mon appel vidéo hebdomadaire avec tante Pen plus tard. Si ça me manque, elle sera dans le prochain avion de retour. Vous savez comment elle panique."

« D'accord. Et le déjeuner alors ? Vous pouvez me rencontrer au travail et nous pouvons aller en ville et essayer ces boulettes de viande coréennes dont tout le monde délie."

"Bien sûr, pourquoi pas. Environ 1 ok ? »

"Parfait."

Quelques heures plus tard, je me suis rendu à Oscorp pour rencontrer Gwen. Heureusement, l'entreprise avait déménagé dans un nouveau bâtiment au cours des dernières semaines. Cela signifiait que je pouvais aller voir Gwen et ne pas avoir les frissons chaque fois que je m'en approchais. C'était aussi bon pour elle aussi. Je doute fort qu'elle ait pu continuer à travailler là-bas, après ce qui s'est passé. Elle était si forte. Je viens de courir, je suis parti, je me suis caché. Elle a traversé, a continué. Je ne sais pas comment elle l'a si bien fait. J'étais un gâchis.