Parle-moi// Spiderman (Tome 2)

Chapitre - 6 Personnalité éblouissante

Quelques semaines après avoir promis à Gwen, je dirais oui au prochain gars qui m'a demandé de sortir, j'étais confronté à la situation difficile de l'avoir réellement. Ma belle agitateur d'une meilleure amie a décidé de prendre sur elle pour y arriver. Elle a cherché Harry Osborne. Elle s'est littéralement tenue devant son bureau, a attendu qu'il parte, puis lui a donné mon numéro. J'ignorais qu'elle fasse cela, eh bien, c'était jusqu'à ce que je receigne un appel téléphonique, un appel de M. Osborne lui-même.

Ne vous méprenez pas, aller à l'encontre de sa réputation publique Harry semblait être un grand gars, même le gars parfait. Il était intelligent, drôle, avait des yeux incroyables et était maintenant à la tête d'une entreprise de 200 milliards de dollars. Même avec tout cela, j'hésitais toujours, je ne me sentais pas bien. Après avoir beaucoup de convaincant au téléphone, Harry smooth m'a demandé d'aller prendre un café avec lui, tout aussi amis qu'il l'a dit. Oui, comme si je n'avais jamais entendu celui-là auparavant. Dès que j'ai posé le téléphone après avoir accepté cette petite rencontre, je l'ai tout de suite regretté. J'avais l'impression de faire une énorme erreur.

"Gwen, je ne pense pas pouvoir passer par là", m'inquiétait-je, Gwen retouchant mon maquillage le matin du mien et le voyage Starbucks d'Harry.

"Lauren, pour l'amour de Dieu. Nous connaissons tous les deux la raison pour laquelle vous ne voulez pas le faire. La raison est 6 pieds 2, stupide et dans le passé. Vous devez passer à autre chose."

"Peut-être que je ne suis pas prêt. Si Peter appravait que je voyais d'autres gars, il serait vraiment contrarié."

"Il a rompu avec toi Lauren", a poussé Gwen en m'accaparant à mes épaules.

"Ouais pour me protéger, pas parce qu'il ne m'aimait pas."

"Bien, une rupture que je peux laisser glisser. Deux, pas question. Vous rencontrez Harry et c'est définitif. Vous ne savez jamais que vous pourriez finir par vous amuser."

Il s'avère qu'elle avait raison. Ce que j'avais l'intention d'être une gorgée de 10 minutes et de courir au café s'est transformé en une matinée entière d'apprendre à me connaître, de blagues, de plaisir et de rire. Je ne me souviens pas de la dernière fois que j'ai fait ça. Pour la première fois depuis des mois, mon esprit n'a pas été en proie aux pensées d'un certain Spider-Parker.

Harry était excitant, différent, sans drame. Il n'est pas venu avec une pile de mauvais sentiments, de souvenirs et de douleur. Avec lui, j'avais une ardoise propre. Avec lui, j'ai eu la chance d'être à nouveau heureux. Depuis, nous étions sortis boire un verre en tant qu'amis à quelques reprises. Peut-être que tout ce qui est destiné à moi et à Harry, c'est d'être amis, mais qui sait. Si nous le prenons lentement, comme vraiment lent, peut-être qu'il peut s'épanouir en autre chose. Nous verrons.

"Hé, Madame Stacy, avez-vous besoin d'un coup de main avec la nourriture ?" C'était un dimanche et Gwen m'avait invité à passer la journée avec sa famille. Je voulais aider pendant que j'y étais. C'était le moins que je pouvais faire après tout ce qui s'est passé. Une partie de moi se sentira toujours coupable d'avoir déchiré leur famille.

"Oh merci chérie, veux-tu trancher du pain pour la table ?"

« Bien sûr. »

En saisissant un couteau à pain du tiroir, j'ai placé la fleurière fraîchement cuite sur le comptoir et j'ai commencé à la couper en tranches. Maintenant, tout le monde sait à quel point j'ai raison enclin aux accidents ? Sérieusement, même moi, je ne pouvais sûrement pas gâcher le pain.

Dernières nouvelles qui sortent du centre-ville de Manhattan cet après-midi...

La radio a alerté depuis l'étagère de la cuisine juste derrière moi.