Mafia Life

1.

Une partie d'échec,
Tout à commencer comme ça,
📍Vérone 3A.M:
mon père Antonio Riveira était un jeune homme pauvre. Il est entré une fois dans un casino et a renversé sa bière sur un homme riche qui a menacé de le tuer, le gérant du casino propose une alternative (si un meurtre était commis dans son établissement la publicité aurait été mauvaise pour lui): une partie d'échec. Les règles étaient simple: si mon père gagnait l'homme le laissait partir mais si il perdait il travaillerai pour l'homme en question jusqu'à rembourser 20 000€ le prix de sa chemise taché.
Que s'est-il passé à votre avis ?
Mon père a perdu, et c'est à ce moment là qu'il comprenait que l'homme comme toutes les personnes présentent ce soir là dans le casino était dans la mafia italienne.

Il commence à travailler pour l'homme en question, et avec le temps il devient son bras droit. Mon père a fait à ce moment là beaucoup beaucoup d'argent et il remboursait la chemise en une semaine même pas. Quand il eut les connaissances et les compétences dans ce milieu il tua d'une balle dans la tête l'homme et prit sa place en temps que chef de l'empire de la drogue la plus puissante d'Italie et 3ème du monde.

Il rencontra ma mère lors d'un banquet mafieux, elle ne faisait pas du tout parti de ce milieu, elle, elle savait faire qu'un seul truc dans la vie volé. Elle était la meilleure voleuse d'Italie: ça allait d'un petit volé de carte et de téléphone à des bracages dans les plus grandes bijouteries et banques de Venise et Rome. Ce soir là, elle lui volait plus de 10 000€ en cash en flirtant avec lui. Quand il s'en rendus compte, il l'a fut retrouver et même si ma mère se cachait très bien, il avait trop d'hommes et de contacts pour qu'elle lui file entre les doigts.
Il fit le même deal que l'homme lui avait fait à l'époque, sauf que ma mère remporta la partie d'échec mais elle choisit de rester travailler avec lui.
4 ans plus tard,
Un mariage et j'arrivais moi Victoria Riveira.
Mais très vite, je ne devint pas la fille qu'ils espéraient, refusant d'être lié à leur trafic. Et lorsque j'eus la majorité, je mis cape sur une autre vie. Une vie loin de la drogue, des armes, d'hommes de main,...
J'étais LIBRE...

Je m'installais à Vérone, dans une maison que fis construire moi même avec l'argent que j'avais gagner grâce mon business en effet même si je déteste le business de mes parents ils m'avaient transmis le sens des affaires et je ne pouvais pas avec la vie que j'avais me contenter d'une vie sans luxe. Alors à 14 ans, j'ouvris un site internet de vente de vêtements et j'avais fais plus d'un million de bénéfices. Je prenais le large avec un beau pactole et tout ça légalement. J'avais crée une entreprise avec l'aide de copine à moi, après je me suis agrandit petit a petit et maintenant j'ai des bureaux avec une équipe. Mon bureau tout vitré est au 26eme étage d'un building avec vue sur le lac de Garde. Et depuis je ne suis jamais retourner les voire à leur plus grande déception.

J'aime mes parents mais si je veux un jour trouver une stabilité de vie il faut que je m'en éloigne. Mon père était un mélange du Joker, Tony Montana, Pablo Escobar, et tout les autres méchants des films:
Hormis avec ma mère et moi, il n'avait pas de coeur, pas de patience, pas de confiance, si il doutait il tuait. Il n'avait pas de sentiment, il était froid, glaciale, il a tué son bras droit qui l'a soutenus pendant 11 ans. Si quelqu'un se mets en travers de son business et qu'il ne peut l'acheter il le tue. Et quand il est en colère rien ne peut l'arrêter. Mon père ne parle jamais de ses parents ni à ma mère ni à moi. Quand je suis partie de la maison se serait me mentir en me disant que ça allait être facile, il a ramener des hommes me chercher à plusieurs reprise, à essayer de me faire surveiller, est rentré par effraction à plusieurs reprise chez moi, a tenter de le faire peur pour que je revienne mais rien n'a faire j'étais partie pour de bon. Parfois il me manque, le soir quand je m'endors car quand j'étais plus petite il venait me faire un bisou et me rassurait avec moi c'était un gros nounours malgré ses énormes muscles et son grand costard il était mon gros nounours tout doux a moi. Et j'étais la seule à ne pas avoir peur de lui même me mère le craignait.
Maintenant que vous connaissez le passé, voyons le présent.