Mafia Life

17.

Alessio,
Je devais en apprendre plus sur lui. Des que j'entrais dans la résidence de Rome, je me dirigeais dans le bureau de mon père en demandant qu'on me dérange sous aucun prétexte. J'ouvrais l'armoire noir et la dedans il y avait le grale: chaque homme de main de mon père avait un dossier à son nom avec tous son passif c'était très utile pour ne pas avoir de taupe au sein du cartel ou carrément avoir des moyens de pressions sur ceux qui poseraient problèmes. Je savais qu'ils les avaient car ma mère lorsque je l'ai accompagné pour la dernière fois à l'aéroport m'a en me serrant dans ses bras donné la clé de l'armoire. Et cette clé je la connaissais que trop bien: quand j'avais 12 ans je l'avais pris pour jouer et mon père c'était mis dans une colère monstre contre moi et je n'avais jamais sut pourquoi il accordait autant d'importance que ça à cette clé et maintenant je comprenais. Alessio, je pris le dossier et m'assisse au bureau en l'ouvrant:

C'était la couverture: condamnation à 4 ans pour braquage à main armé avec des copains. Il y avait les documents et facture de l'hôpital pour le traitement de sa mère. Des photos de lui sur sa tombe, il faisait de la boxe à haut niveau mais à arrêter du jour au lendemain pour faute d'argent. Dealer, plusieurs garde à vue, en prison comportement violent avec les gardiens et les prisonniers. Une seule personne comptait pour lui sa mère, ni frère ni sœur. Ses missions dans le cartel: surveillance des labo, surveillance des transactions, tueur à gage, protecteur de Victoria. Il me protégeait et m'espionnait depuis que j'étais partie de la maison. Bras droit, digne de confiance, aucune petite amie ni femme. Donc aucun moyen de pression. Son père vivait au Brésil et était d'après les photos en permanence ivre et traînait les bars. Ce jour là je lus tout les dossiers pour connaître chaque homme, et pour mieux comprendre certains. Vers 4 heure du matin je sortis du bureau pour aller me coucher je montais mes escaliers:

Lorsque j'entendais un bruit de verres se casser dans la chambre d'alessio et un crie de douleur: j'entrais et il était face à son miroir torse nu un verre était brisé par terre. Il redressait la tête et me vit dans le miroir: son regard était sombre. Je m'approchais doucement de lui:
Lui: "Arrête !"
Je continuais à avancer jusqu'à caresser tout son dos avec ma main et déposa un baiser dans sa nuque. Je serrais mes bras autour de sa taille et il se redressait. Il entrelassait ses doigts avec les miens posés sur ses abdos.
Moi: "Parle moi.
Alessio: Valentino a le cartel de Cali avec lui.
Moi: et c'est ça qui te mets en rogne.
Alessio: Le cartel de Cali Victoria L'un des plus gros on fait pas le poids.
Moi: Oh mon amour, tu as toujours eut affaire à des hommes mais sache qu'une femme a toujours un coup d'avance.
Alessio: Escobar ? Ça ne sera pas assez."
Je le forçais à se retourner pour me faire face le prit dans mes bras et lui chuchotait:
Moi: "Le cartel de Cali est avec nous Et ca depuis 5 ans déjà, dans les papiers de mon père il y a un contrat d'association entre nous et Cali. Je les ai appelé et c'est eux qui m'apporteront Valentino demain dans l'après midi.
Alessio: Tu en es sur ?
Moi: tu peux dormir tranquille."
Je m'apprêtais à sortir mais je vis du sang sur ma main c'était le sien, il avait casser le verre dans sa main et l'avait poser sur la mienne.
Moi: "Tu saignes ?
Lui: C'est rien va te reposer tu es fatiguée il est tard."
J'attrapais son autre main et le fit s'asseoir sur son lit je me mis à califourchon et le soignais. Je sentais son regard sur moi.

Quand j'eus finis, je lui déposais un baiser sur le front et allait partir mais il me retins.
Lui: "Ne me laisse pas."
Je le serrais dans mes bras et il me portais dans le lit et je m'endormais dans ses bras.