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Alessio,
Moi: "Alessio ?
Alessio: Oui Madame ?
Moi: Je te déteste pas.
Alessio: Je sais.
Moi: Tu sais ?"
On était encore dans les bras l'un de l'autre, il y avait pas mal de vent alors il avait refermer sa veste avec ses bras dans mon dos, on se regardait dans les yeux presque nez contre nez.
Alessio: "Non je le sais depuis que tu m'as soigné ! Personne n'avais jamais pris soin de moi d'ailleurs je crois que ce câlin est le premier depuis la mort de ma mère que j'ai.
Moi: Et ton père ?
Alessio: Mon père nous a abandonné pour une autre famille.
Moi: Je suis désolée vraiment.
Alessio: Tu n'y ai pour rien. Ce travail est compliqué pour moi parce qu'à part ma mère je n'ai jamais eu à protéger personne et avec ma mère j'ai échoué.
Moi: C'était pas ta faute c'était le destin.
Alessio: J'ai peur d'échoué avec toi.
Moi: N'ai pas peur tu y arriveras.
Francesca (une salarié): Madame un homme demande à vous voir. Il dit s'appeler Antonio."
Mon regard se tourne vers Alessio qui paraît aussi étonné que moi.
Moi: "Ou est il ?
Francesca: en bas à l'entrée."
Je me précipite dans les escaliers suivis d'Alessio. Et en effet mon père se tient debout costume noir avec deux hommes à ses côtés.
Moi: " Antonio qu'est ce que vous faites la ?
Papa: Je viens vous rendre visite.
Moi: Venez dans mon bureau."
On montait dans l'ascenseur et des que les portes se refermaient:
Moi: « Qu'est ce que tu fais ici ?
Antonio: Il faut qu'on parle !
Moi: et pourquoi ici ?
Antonio: Je savais que tu serais là. »
Je les conduisais en salle de réunion et avant de fermer les portes:
Moi: « Lù donner leur après midi à tous les employés.
Lù: Tous ? Cette après midi ?
Moi: Oui ils ont bien bossés ils m'héritent une après midi tranquille.
Lù: Et moi ?
Moi: Vous aussi. »

Moi: « Je t'écoute ! Antonio: La guerre est bien

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Moi: « Je t'écoute !
Antonio: La guerre est bien... »
Et c'est à ce moment là que toute ma vie s'effondra, il allait finir sa phrase lorsque qu'un point rouge est apparus sur son front et qu'il a prit une balle de FR F2 calibre 7,62. Mon père était mort sous mes yeux, en face de moi son sang giclait sur mon visage et sa tête tombait en arrière. Il était mort sur le coup, il n'avais même pas eu le temps de me dire quelques mots. Tout était au ralentit, je sentis un poids gigantesque me faire tomber et se mettre au dessus de moi mais à ma chute je ne voyais que le visage vide de mon père. Il était mort, l'homme le plus craint de toute l'Italie était mort et tout ça en l'espace d'une seconde. Une image, un souvenir mets revenus celui d'une petite fille courant dans un jardin les bras chargés de liasse de dollars et lui la poursuivant en rigolant: cette petite fille de 5 ans a l'époque c'était moi. Je me souvenais de tellement de chose c'est comme si tout mes moments avec lui revenait d'un coup mais c'est moment il s'arrêtait. Aucune suite, rien, juste un homme partis laissant sa fille a peine une femme aux commandes. Je ne savais même pas si il était fière de moi ou pas ? Si il m'aimait ? Si je lui manquait ? Et personne ne répondra jamais à toutes mes interrogations. Les tirs de balles ne cessaient pas:
Alessio: « On fait sortir Madame Riveira du bâtiment elle est à la tête du cartel. »
Les hommes de mon père faisaient un escadron de la mort pour me sortir de la. Je montais dans une voiture et rejoins la propriété familiale je courrais voir ma mère. Je l'a fis s'asseoir...

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