15.

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Ce soir,
Nous repartions de la soirée, arrivé à la propriété j'allais dans ma chambre retirais mes talons et ouvrait les fenêtres pour aller sur le balcon j'observais Alessio d'en haut fumer sa cigarette, appuyer contre le mur. Son regard croisait le mien:
Lui: « Tu m'espionne princesse ?
Moi: Non du tout.
Lui: Menteuse.
Moi: Je regarde la lune.
Lui: la lune ?
Moi: ma mère aimait me dire que chaque soir prier devant la lune exhaussait tout tes vœux.
Lui: Et qu'est ce que tu fais comme vœux ?
Moi: Ça c'est secret !
Lui: Tu veux pas me le dire t'es sure ?
Moi: si je te le dis il ne se réalisera pas.
Lui: moi je pense que oui.
Moi: qu'est ce que tu peux être égocentrique.
Lui: Tu m'insultes ?
Moi: Oui et alors ?
Lui: C'est dangereux de faire ça !
Moi: Pourquoi ? Je ne risque pas grand chose. »
Il prit appuie sur le muret puis escaladais jusqu'au balcon. Il se retrouvait face à moi.
Lui: « T'es petite en vrai sans tes talons !
Moi: Je ne te permets pas. »
Il appuyait ses deux mains à la rambarde et je me trouvait au milieu d'elle en face de lui.
Lui: « Dis moi ton vœux ?
Moi: Non. »
Il me regardait dans les yeux, et m'embrassait.
Moi: « Arrête on risque de nous voir !
Lui: Dis moi ton vœux.
Moi: Que mon père revienne. »
Il s'arrêtait nette et me regardait avec de la pitié.
Moi: « Ne me regarde pas comme ça !
Lui: Comme quoi ?
Moi: avec pitié. »
Je me retournais, il était dos à moi, il entourait ses bras sur mes épaules et me fis un bisou dans les cheveux.
Lui: « Quand ma mère est décédée pendant 1 et demi j'allais tout les matins sur sa tombe lui demander conseils et je lui racontais ma vie. »
Mes larmes coulaient.
Moi: Comment on vit avec ça ? Il me manque Alessio.
Lui: On vit avec il y a pas un jour qui passe sans que je revois sa main faibrile dans la mienne et ses yeux se fermer en me disant qu'elle m'aimait.
Moi: Pourquoi tu ne vas plus la voir au cimetière, qu'est ce qui t'as fait arrêter.
Lui: Toi. »
Je me retournais, les yeux écarquillés.
Lui: "Tu me fais penser à elle.
Moi: en quoi ?
Lui: Quand tu m'as soigné la cuisse, la tendresse la douceur avec laquelle tu la fais alors que j'étais hautain et méchant avec toi. Ma mère voyait de la bonté même chez les personnes les plus sombres."
Je me blottis dans ses bras.
Moi: "Tu as déjà été amoureux ?
Lui: Non. Mon père comme le tien disait que ce n'était que faiblesse et ils n'ont pas tort.
Moi: Ce n'est pas de la faiblesse.
Lui: Tu veux savoir comment détruire un homme sans le tuer: tue sa femme. Et son chagrin ou sa colère le détruira.
Moi: C'est plus que ça, pour moi l'amour à deux face comme une pièce tout marche en binôme l'homme et la femme, la droite ou la gauche, le bien ou le mal, la force et la faiblesse. L'amour est une faiblesse comme tu l'as dit mais peut aussi s'avérer être une force.
Lui: en quoi ?
Moi: l'amour que tu vis avec la personne, tu peux te confier à elle, si tu doutes lui demander ce qu'elle en pense, quand ça va pas c'est une épaule quand tu es en danger c'est ta protection. Une victoire, un échec, une bonne oh une mauvaise nouvelle tu partage tout avec cet amour.
Lui: Et tu n'as pas peur d'avoir peur de perdre cet amour à chaque minute de ta vie.
Moi: je préfère avoir peur que me sentir seule ou abandonnée."
Il mit ma main sur son coeur et je sentais ses battements accélérés lorsque je lui parlais. Il me prit dans de bras.

Nous finissons la soirée dans ma chambre

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Nous finissons la soirée dans ma chambre. Et vu ce qui nous attendait le lendemain nous faisions bien de profiter l'un de l'autre. Le lendemain je réunissais tous mes hommes:
Moi: « Comme vous le savez tous, nous sommes en guerre c'est quelque chose qu'on a du vous répéter 1000 fois et entre temps vous avez changer de chef certains d'entre vous l'ont accepter d'autres non. Je remercie premièrement ceux qui sacrifient leur vie pour la mienne et Antonio aurait été fière de chacun de vous. La mafia n'est pas juste un clan c'est une famille. On a détruit le membre le plus important pour certains un chef, un ami, un grand frère, un protecteur, un sauveur, un père...
Vengeons le sang par le sang aujourd'hui nous allons tuer Valentino. Et ça en lui tendant un piège: est ce que vous êtes avec moi ?
Les hommes: OUI !
Moi: Oui qui ?
Les hommes: OUI MADAME RIVEIRA ! »

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