12.

65 3 0
                                    

Sur le chemin de retour,
Tout était silencieux, j'étais au plus bas et remonter la pente allait être compliqué mais je n'avais pas le choix et pas le temps non plus. Je versais quelques larmes silencieuses. Alessio le remarquait et même si il était en train de conduire il attrapait ma main et l'embrassait sur le dessus. Je le regardais et il restait fixer sur la route.
Moi: « J'ai peur !
Alessio: Ne le dis pas.
Moi: Alessio: Je n'en serrais pas capable. Je ne suis pas à la hauteur !
Alessio: Tu es bien plus qu'à la hauteur, Victoria j'ai vu comment tu gérais ton entreprise.
Moi: C'est pas la même chose.
Alessio: Dirigé a toujours été compliqué, ça rapporte à la royauté. Tu dois gouverner dans un monde que tu connais vaguement, tu devras te fier à toi même. Mais tu as ça dans le sang.
Moi: Merci, est ce que je peux avoir confiance en toi ?
Alessio: J'ai promis à ton père que je te protégerais jusqu'à ma mort. C'est mon travail.
Moi: Merci. »
Nous continuons notre route sans détacher  nos mains l'une de l'autre.
Le lendemain je me réveillais dans mon grand lit en baldaquin complètement seule dans une immense maison remplie d'inconnu.
Je partais à la douche et m'appuyais contre la parois en verre et pleurais les larmes qu'il me restait. Aujourd'hui aller être compliquer, j'allais peut être mourir.
Je m'habillais et descendais prendre mon café.

En ouvrant la porte de la salle de bain Alessio était là, il me regardait et je tournais les yeux je n'avais pas envi qu'il voit que j'étais triste je devais me montrer confiante et forte sinon personne ne me suivrait

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

En ouvrant la porte de la salle de bain Alessio était là, il me regardait et je tournais les yeux je n'avais pas envi qu'il voit que j'étais triste je devais me montrer confiante et forte sinon personne ne me suivrait.
Moi: « Alessio, tu vas réunir le conseil ce soir à la propriété !
Alessio: Oui madame.
Moi: Madame ?
Alessio: Tu as changé de statut dans mon travail, tu es ma supérieur.
Moi: Appelle moi Victoria s'il te plaît.
Alessio: Bien, est ce que tu trouves ça judicieux de réunir tout le monde ici ?
Moi: oui car de toute façon nous ne resterons pas longtemps ici.
Alessio: Bien.
Moi: Gio et Mario vous m'accompagnez au bureau.
Alessio: Non je dois venir.
Moi: Alessio j'ai dis non.
Alessio: Victoria ?
Moi: Il ne va rien se passer je suis rentrée dans une heure. »
Je partais direction mon entreprise.
Je montais les escaliers suivis des deux hommes et convoquais les actionnaires afin d'en nommer un chef des opérations et que je puisse me retirer de mes fonctions s'en perdre les rennes de l'entreprise qui est la mienne. Pour la faire courte je toucherais l'argent sans travailler. Lorsque se fût fait, je quittais les lieux le plus vite possible, on ne sait jamais. En rentrant je convoquais les 20 hommes de mains qui surveillaient la maison:
Moi: « Bonjour Messieurs, je sais que ça doit pas être facile pour vous d'avoir un si gros changement mais habitués vous rapidement. Je dirige le Cartel Riveira, que ça plaise ou non et vous désormais sous mes ordres alors tout ceux qui veulent partir car ça ne leur plaît pas qu'ils partent. Vous devez me jurer loyauté et protection. Est ce que quelqu'un veut intervenir ? »
Un grand silence se fit entendre.
Moi: « Bien, nous sommes en guerre et nous allons la gagner ! Battons nous pour rendre hommage à Antonio ! Qui est avec moi ?
Tout les hommes: MOI !
Moi: bien alors attendons que le conseils rentrent dans la fosse ! »
Je me préparais pour ce soir dans la chambre mais impossible de refermer ma robe dans le dos. Je sentis deux mains une se placer sur ma hanche et l'autre monter la fermeture. Je me retournais et vis Alessio:
Moi: « Merci. »
Il restait à me regarder et s'en allait.

Je regardais du haut du balcon, tout le conseil était là

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Je regardais du haut du balcon, tout le conseil était là. Chacun commençait à s'asseoir et c'était l'heure de mon entrée, j'avais peur mais personne pour me rassurer je n'avais plus que moi et j'allais y arriver. C'est empire allait vivre encore longtemps. Je descendais les escaliers sous le regard de tous, certains admiratifs et certains n'attendaient que de me voir tomber. Je me dirigeais vers le micro et montais sur l'estrade.
Moi: « Bonsoir à tous, comme vous le savez Antonio Riveira, Chef du Cartel, votre chef à tous, mon père est mort. Valentino l'a fait assassiné, je prends donc sa place à la tête du Cartel. Alors je sais que certains ont des craintes et certains ne pensent actuellement qu'à m'éliminer pour prendre ma place mais sachez que j'en ai rien à foutre, et si vous voulez ma place j'espère que vous êtes prêt à vous battre parce que je ne lâcherais rien. Je suis une femme qui a plus de couilles que la plus part des gens qui ont le cul sur ses sièges ce soir ! Alors on garde le plan initial on élimine Valentino et son cartel, on reprends nos biens et après on se chargera de diviser !
Lorenzo: T'en jamais rien à fourre du cartel et maintenant tu veux qu'on te fasse confiance aveuglément dans cette guerre ?
Moi: C'est vrai, je déteste ce monde mais mon père c'est battus toute sa vie pour ça, et comme lui je donnerais ma vie pour ça c'est ma destinée je n'ai pas le choix !
Diego: je suis contre comment une femme qui n'a aucune expérience va t'elle nous mener au bout de cette guerre ?
Moi: J'ai aucune expérience dans ce monde mais contrairement à toi je ne sais pas faire que tuer je réfléchie et cette capacité de réflexion tu ne l'as pas ce qui me rends meilleur que toi car en plus de savoir réfléchir je sais tuer ! Et si tu ne me crois pas on peut régler ça dehors !
Tonio: je suis !
Lorenzo: Je suis ! »

Mafia Life Où les histoires vivent. Découvrez maintenant