En sortant du motel le lundi suivant, Tu n'es pas surprise de voir Levi qui t'attend. Immédiatement, ton cœur bondit de joie.
Tu te demandes s'il le remarque. La façon dont tu as passé un moment supplémentaire devant le miroir ce matin, pour bien coiffé tes cheveux.
Tu lui lances un regard timide et agis comme si tu ne l'avais pas vu. Tu passes juste devant lui pour aller prendre ton vélo.« Hé. »
Tu l'ignores, prétendant que tu le vois pas. Le faire courir après toi a son charmes.
Il ne l'apprécie pas. Il marche vers toi et, assez hardement, saisit ta taille et te fait tourner pour lui faire face.« C'est à ça que tu joues aujourd'hui? » demande-t-il. Tu le pousses un peu, mais le sourire sur ton visage te trahit.
« De quoi tu parles, Capo? J'ai supposé que tu étais ici pour les affaires puisqu'il n'y a aucune chance pour que tu viennes jusqu'ici juste pour prendre un simple soldato. »
« Tu as raison. Je ne suis pas venu chercher un soldato. Je suis venu chercher ma femme. »
« Arrêtes de m'appeler comme ça, surtout en public », tu le grondes, mais la confiance brutale avec laquelle il t'a pris te rend un peu excitée.
« Laisse tomber la bicyclette. Laisse-moi te conduire au travail aujourd'hui », dit- il.
« Lâches-moi avant que quelqu'un te vois et pense que tu fais des choses indécentes à un autre homme », dis-tu. Il sait que tu as raison, mais il y a un air de réticence quand il te laisse partir.
« Allons-y. »
Tu soupires, résigner et prends ton vélo.
« Je veux au moins l'apporter jusqu'au manoir avec moi », dis-tu. Il claque la langue sur son palet à ta requette, mais hausse les épaules néanmoins.«Fais ce que tu veux. »
Rassasié, tu te déplaces vers ton vélo, mais il le prend pour toi et le met dans le coffre de la voiture. Tu croises les bras et lèves un sourcil.
« Arrêtes ça. »
« Quoi? »
« Me traiter comme une Femme. Je peux porter mon propre vélo. »Il ne dit rien. Pendant que tu te déplaces pour aller vers la place passager, il essaie de t'ouvrir la porte du côté passager pour toi, mais avant qu'il puisse tu prends son bras et le pousses en arrière.
« Levi, je le jure devant Dieu. Continues à faire preuve de galanterie et je te frapperai.»
«Je suis ton capo. Fais-le et je te ferai expulser. »Tu montes dans la voiture et claques la porte. Levi marche sur le côté et saute à l'intérieur. Tu le regardes et dès que vous êtes seul, tu commences à te plaindre.
« Je te l'ai dit. Je ne veux pas que tu me traites différemment juste parce que je suis une fille. Tu n'as pas été gentil avec Isaac, ne sois pas gentil avec Jessie. C'est très troublant parce que tu n'es gentil avec personne. »
Il démarre la voiture, se tourne vers toi et attrape l'avant de ta chemise. Il te ramène grossièrement jusqu'à ce que tu puisses sentir son souffle sur ton visage.
« Tu te plains, tu te plains. », fredonne-t-il, et sa voix grave et basse envoie immédiatement un frisson dans ta colonne vertébrale. « Ne veux-tu même pas embrasser ton homme le matin ? »Le côté de toi toujours désireuse de plaire à cet homme te fait placer une main sur son torse. Automatiquement, tes paupières se ferme et tu te penches vers lui.
« Si tu veux un baiser, prends-le, chuchotes-tu. Avec un sourire arrogant, il saisit ton cou et prend tes lèvres. Tu gémis de joie, Tes lèvres s'ouvrant docilement pour sa langue.
Quand il se retire, tes plaintes sont oubliées. Il se met à conduire jusqu'au manoir.
« Quelque chose de spécial pour aujourd'hui? » « ... Oui. »
Immédiatement, tu te redresses, sentant la tension familière de l'excitation. Même si le compte à rebours de la réunion administrative touche à sa fin, tu as encore envie d'un bon défi. Quelques actions.

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77 gunshots
FanficCETTE HISTOIRE NE M'APPARTIENT PAS, L'ORIGINAL EN ANGLAIS EST DANS MA BIO REPOST prsq elle s'est fait enlevé rip