Prologue

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Qu'est-ce que l'amitié? A l'heure actuel, je ne pourrais pas répondre a cette question que je me pose. Pourtant...j'aimerai y répondre un jour. La veille de ma rentrée en classe de première avec mon frère jumeau, j'ai fait un vœux après avoir vu une étoile filante parcourir le ciel étoilé du mois de printemps. Celui de répondre a cette question.

Il est presque 7h48 et je suis assise dans le bus à côté de mon frère jumeau, Andrew. On se ressemble autant sur le plan physique que moral. Cependant, il est très, mais très sociable pour une personne qui change 3 fois de lycée par an, tout mon contraire. Enfin, on a tout les deux des cheveux marron de nature bouclé et des yeux vert, on ne ressemble absolument pas a nos parents, ce qui ne m'interpelle pas plus que sa en vérité.

Je descend du bus à 7h55. J'ai 5 minutes pour trouver ma salle de cours qui est maths. J'adore les maths. Vraiment. A mon plus grand étonnement, Andrew et moi sommes pas dans la même classe, ce que j'aurai préférer pour éviter de passer pour la fille timide, insociable qui reste dans son coin. D'un côté...c'est le cas.

Au final j'arrive en cours à 8h01 et à ma plus grande chance le prof n'est pas encore là. Je suis dans le bâtiment des sciences au dernier étage. Malheureusement pour moi le lycée est très grand puisqu'il fait collège en même temps. Donc des centaines d'escaliers à monter... Une fois installé a une table qui ma sembler vide (tout au fond à droite côté fenêtre), meilleur place pour toute personne qui se perd rapidement dans ses pensées, le prof entra. Une entrée comme les autres ? Absolument pas. En voulant s'assoir sur sa chaise pour procéder à l'appel, il se relève d'un bond en criant de douleur, je suppose.

"-Que le responsable se dénonce, demanda le prof calmement à mon plus grand étonnement.

-C'est Asher M'sieur, lança un élève assis 2 rangs devant moi plus vers la gauche.

-Comment c'est possible? Il n'est même pas l-..."

Le prof se tue en se tournant vers la porte qui venait de s'ouvrir sur un mâle. Un homme. Un garçon plus précisément, de notre tranche d'âge. Il devait faire au moins 1m85, le prof semblait être une petite souris à côté de lui. Ses cheveux noir très sombre et son regard marron-orangé très froid me glaçait sur place. Il me regardait. Pourquoi moi? C'est parce qu'il ne ma sûrement jamais croisé avant.

"-C'est ma place, lâcha-t-il finalement d'une voix rauque, la naine."

La naine ? Moi? Je regardais derrière moi dans l'espoir de mettre trompé mais personne. C'est vrai que je suis assise au fond...Je me redressais prudemment en rassemblant le très peu d'affaire que jamais, donc mon stylos et mon sac pour me décaler sur le côté et libérer ainsi la place.

"-Désoler, murmurais-je presque sous la pression énorme des regards qui me faisait face.

-Alice! C'est sa ? demanda le prof après m'avoir bien observer ainsi que sa feuille qu'il tenait, je ne t'avais pas vue excuse moi, reste donc a cette place, Monsieur Brake se fera un plaisir de s'assoir juste devant mon bureau, il se tourna vers celui-ci. Cela vous apprendra à arriver en retard ainsi que faire des farces aussi débiles que tes résultats scolaires qui chute à une vitesse effrayante.

-Oui oui M'sieur, cracha-t-il froidement en s'installent non sans me regarder froidement."

Je suis certaine que son regard est plus efficace qu'un congélateur. Après mettre installer et écouter le mini discours de Monsieur Cammas, visiblement mon prof principal de maths, je suivais le cours très attentive à la trigonométrie.

La fin des cours étaient enfin arrivés. Malgré ma passion pour les cours, quand il est 18h je prend toujours un énorme coup de fatigue qui ne souhaite qu'une chose: que je rentre dormir. Les nuits je dors sans dormir, je sais pas comment vraiment l'expliquer enfaite. Je fais plusieurs cauchemars qui me tient éveiller une bonne partie de la nuit et la journée, ou plutôt en fin d'après-midi, je suis fatiguée et je m,'endort assez tôt. J'ai testé plusieurs médicaments ainsi que méthode du médecin mais aucun résultat positive. Je me suis même habituée à ce rythme de vie. Une fois installé dans le bus toujours à côté de mon frère qui ne faisait que raconter sa journée si "extraordinaire", je m'endormis contre son épaule.

Shooting Stars ( pandemia)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant