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Rin Itoshi est un jeune garçon, froid, brutal, sérieux et égoïste faisant passer ses objectives avant tout le reste avec une fierté démesurée. Il n'avait qu'une seule vraie routine : jouer au foot, faire des exercices, aller à la salle d'entraînement. Il vit et respire le football, cela avec le temps, c'est transformer en obsession, voulant devenir et ressemblait à son frère aîné.
Celui-ci comme à son habitude était sur le parquet, s'entraîne à tire dans les cages.
"- Eh Rin t'a pas oublier quelque chose ? Tu ne m'avais pas dit que t'avais un truc à faire aujourd'hui ?
- Non, puis il y aurait quoi de plus important que le foot ? Fit-il à son coéquipier. "
Alors qu'il rentre à pied chez lui, écouteurs aux oreilles, celui-ci reçut un appel, il ne prit pas même de voir qui c'était qu'il avait raccroché avant de commencer sa course jusqu'à sa maison. Le lendemain, alors qu'il était en cours, celui-ci était allé voir sa copine, son copain, mais malheureusement pour lui cette personne l'ignore.
Celui-ci, qui avait une fierté démesure avait fait de même, mais quand celui-ci vue qu'iel ne lui accorder même pas un regard, il avait décidé d'aller lui parler. Le noiraud l'avait pris par le bras avant de glisser sa main dans la sienne allant dans un endroit calme sans personne aux environs.
"- Maintenant parler, pourquoi tu m'ignores ? Demande le jeune sportif.
La personne en face de lui ne l'avait pas regardé, heureusement pour iel la sonnerie avait retentis, iel avait une bonne excuse pour pouvoir fuir cette discutions, le laissant seul sans rien comprendre de cette situation.
Quelques heures plus tard, alors qu'il/elle était dans sa chambre, celui-ci avait eu la permission des parents de son, sa/son copine/copin d'aller dans sa chambre. Celle-ci/celui-ci qui était dans son lit avait levé les yeux.
"- Rin. Fit-iel simplement.
- Parlons pourquoi tu me fuis. Fit-il en prenant place à côté d'iel.
- je t'ai attendu plus de trente minutes dehors hier, je préférais qu'on se quitte si je ne suis pas plus important/e que ça."
Celui-ci suite aux mots de celle-ci/celui-ci avait été abasourdi par ses mots, il l'avait simplement pris dans ses bras, la serrant un peu plus dans son emprise.
"- je refuse que tu me quittes. Désoler de ne penser qu'à moi, pardonne moi d'être un mauvais petit-amis."
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