LE CŒUR ENTRE DEUX CAMPS [Esprit Criminel] {TERMINÉ} ~Tome 1~

𝙲𝙷𝙰𝙿𝙸𝚃𝚁𝙴 𝟸𝟺 ➢ 𝙰𝚕𝚎𝚌... ✔

PDV Spencer

Pourquoi ses yeux se sont écarquillés de peur à l’instant où il a entendu cette femme ?

Spencer : - Qui est-ce Alec ? demandais-je en regardant la femme présente devant nous

L’archer s’éternisait à me répondre, il se contentait seulement de baisser la tête. La femme présente doit avoir la cinquantaine, cheveux grisonnants et elle était vêtue d’un ensemble rouge. J’avais un mauvais présentiment à l’égard de cette femme, elle dégageait des ondes négatives. Très négatives. Elle avait un regard fourbe et manipulateur. Je détournai mon regard vers le futur chef et constata qu’il avait les poings serrés, et la peur était toujours présente dans ses yeux…

C’est bien la première fois que je voyais de la peur dans les yeux d’Alec… Qu’est-ce que cette femme à bien pu lui faire pour qu’il s’effondre à l’instant où elle est apparue ?

Spencer : - Alec ? Qui est-ce ?

Alec : - C’est… c’est ma salope de mère… murmure-t-il d’une voix rauque

J’entrouvris la bouche, choqué par ses mots. Tant de haine…

???? : - Je ne te permets pas de me parler ainsi !

Alec : - Ne m’approche pas !! hurla-t-il en se levant

Je fronçais les sourcils, elle a dû lui faire du mal, beaucoup de mal pour qu’il réagisse ainsi…

Spencer : - Ecoutez madame, pour le bien de tout le monde il vaudrait mieux que vous partiez.

???? : - Il faut que je parle à mon fils…

Spencer : - Lui parler ou lui faire du mal ? demandais-je en haussant les sourcils

Elle me regarda ébahi, offusquée par mes propos. Quelle belle actrice…

Spencer : - Je suis le Dr Spencer Reid, agent fédéral du département des sciences du comportement. Vous pouvez constater par vous-même que votre fils n’a pas envie de vous voir. Donc si vous voulez le bien de votre fils, partez et tout de suite.

???? : - Bien… Je ne savais pas que mon fils s’entourait d’agent aussi charmant que vous Dr. J’espère qu’on se reverra et dans d'autres conditions ?

Spencer : - Ne comptez pas là-dessus.

Au fur et à mesure de mes propos son visage se transformait, désormais elle me toisait du regard. On dirait bien qu’elle n’a pas apprécié mon refus.

???? : - Très bien… Alec mon chou, on se revoit très vite.

Alec : - ¡Vete a la mierda (*Va te faire foutre !) tonna-il assez fort pour qu’elle l’entende

Spencer : - Traiter ta mère n’est pas excessif ?

Alec : - Mêles toi de tes affaires ça ne te regarde en rien !