|- Chaperon Rouge-| . Soukoku

Chapter 00 : prologue

« C'était la matinée, le soleil venait à peine de se lever sur le village de Neo Venezia situé en plein milieu de la forêt qu'on entendait déjà les plaintes de ses habitants de bon matin »

  - Nakahara ! Fait attention à ou tu mets les pieds ! Cria la voix non moins familière à son interlocuteur.

« Le jeune roux était bien connus dans son village comme un fauteur de trouble. Son énergie débordante n'était pas aussi appréciée par les habitants qu'il ne l'aurait voulu. C'est bien pour cette raison qu'on connaissait le jeune garçon roux aux yeux bleus. »

  - Je suis en retard, si je ne rentre pas rapidement je ne pourrais pas voir ma grand mère. Répondu simplement le rouquin en recommençant sa carte course dans le marché du village.

« Les vendeurs s'installaient tandis que d'autres arrivait. Il était à peine 8heures mais l'enfant était aussi énergique qu'une puce mais pour son âge il avait la langue bien pendue. Son objectif était de ramener le pain à sa mère, Jaina, avant que celle-ci ne s'impatiente. Il passa les ruelles à peine rempli vu l'horaire et dépassa la maison de l'a médecin pour arriver devant sa porte après de grandes minutes de course interminable. »

- Je suis rentré maman ! Cria t'il le sac rempli de pain et de confiserie diverse dans les mains.

- Tu en as mis du temps, pourtant ce n'est que le matin. Répondu la jeune femme aux cheveux roux plus clair mais moins orangé que son fils et aux yeux turquoise en arrivant d'une porte dans la salle principale.

- Ouais, c'est le marchant qui m'a fait perdre du temps en me racontant les mêmes absurdités.

- Ha ? Lesquels ?

- C'est pas important ! On doit allez voir Koyo aujourd'hui non?

- Avec ta puanteur ? Absolument pas, prends une douche d'abord, je préparerai son panier et on ira.

- Haa ! J'ai dû courir à cause de toi je te signale !

- Je t'ai jamais demander de le faire à ce que je sache !

- Tu te serais barré sans m'attendre

- C'est exacte

- Tu aurais pus au moins essayé de le nier... . Répondit-Il avec un regard lassé envers sa jeune mère.

-  Je n'en voyais pas l'utilité. Allez file ! Plus vite tu auras finit plus vite on se rendra chez elle.

- Tch! Fut son dernier mot avant qu'il ne se dirige vers La salle d'eau de la maison tout en prenant sa serviette.

- Ça en vaut la peine pour que Kouyou me complimente. Pensa t'il une dernière fois en y entrant et cela était l'idéal.

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« La jeune femme et son fils était alors sortit de leur chez eux. Ils avaient la réputation d'être les personnes les plus belles du village, et cela malgré leur tempérament assez explosif et survolté. Cette beauté ne pouvait être qu'héréditaire, en y réfléchissant bien, même Kouyou était l'une des femmes les plus prisées et cela ne changea pas même maintenant qu'elle ai quitté le village. Les voilà désormais au porte du village, la jeune mère avait les cheveux attachés en queue de cheval tombante coiffé d'une broche vert émeraude assortie à sa tenue quant à chuuya, ses yeux bleus était parfaitement associé à sa tenue.
Voilà la petite famille désormais partis rendre visite à leur aîné généalogique. Pour cela ils devait passer les bois, c'était la moindre des formalités car il n'y avait ni ours, ni une tout autre bête féroce qui en 5 ans et même plus pour la mère les attaqua. Cette forêt était sans danger et ce n'était pas un jour si ordinaire qui allait la changer. »

« La maison de Kouyou était situé sur une parcelle indépendante des bois tombés ou de la forêt humide. La jeune femme habitait dans un chalet tout à fait respectable et admirablement décoré de camélia. Quant à la pelouse habillement couper, elle regorgeait de fleurs diverses mais prestigieuses. Cette vue sur le chalet de sa grand mère, chuuya l'appréciait encore plus que de voir la douce femme qui les attendait depuis quelques heures maintenant. »

- Chuuya, viens près de moi. Lui dit sa mère tout en le regardant cueillir une fleur de tulipe bleu.

«  c'est avec un hochement de tête qu'il répond à sa mère. Il posa la tulipe sur le panier avant de se diriger vers la porte et de la frapper avec 4 coups. Ainsi Kouyou pouvais aisément deviner que c'était sa petite famille. La porte crépita puis grinça avant de s'ouvrir et de laissser place à un beau visage, ses cheveux roux d'une splendeur n'était rien face à Son visage aux traits majestueusement fin. »

- Vous voilà enfin...