CHAPITRE 35 : Cette phrase ;

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Merci d'avoir continué de m'aimer lorsque je n'étais plus capable de le faire.

-Ava dans le tome 2-



***

-Kaïs-


- On a combien d'hommes à Tokyo ? demandais-je.

Je fumer ma douzième clope de l'heure. Je devenais un putain de cendrier sur pate. Mais je en dormais plus. Je la voulais près de moi, en sécurité.

- Trois cents, me répondais Lou.

- C'est pas assez.

- On ne peut pas en emmener plus sur le territoire Kaïs, défendis Kaan.

- On prend l'avion ce soir. On arrivera demain soir et pour y va directement. On la récupère et on se casse tout de suite.

J'allais enfin la revoir. Après une semaine et demie de recherche.


***

-Ava-


Je devenais folle. Une semaine et quatre jours que je n'avais pas vu la lumière du jour. On venait me chercher tous les matins pour entraimer Nix dans une salle sombre. Puis on me refoutait comme un déchet dans ma cellule. Chaque soir mon père venait me demander si je voulais me plier à lui. Je répondais non et il repartit.

Et tout les soir Nix venait dormir avec moi et me racontais son enfance.

Elle me parler de tout sauf un sujet : sa mère. Prononcer son prénom était impossible pour elle. Elle devait la haïr encore plus que je haïssais le monde.

Je commençais à réellement m'attacher à Nix. Cette petite fille qui avait grandis dans le secret, dans l'oubli.

Nous voilà encore dans cette pièce sombre avec des cibles et des couteaux. J'avais les mains ligotées pour ne pas attraper de couteau.

Dès que les gardes sorties de la pièce nous laissant seul je pris un couteau défaisant les liens sous le regard de Nix.

Je rigolais et posa leur ficelle pourrit sur la table et tendis le couteau a Nix.

- Eh meuf heureusement ils sont tous con ici.

Elle rigola. J'aimais bien son rire. Il me rappelait là moi de mes 9 ans.

- N'oublie pas. Quand tu tires sur une cible et sur un humain tu ne ressentiras jamais la même chose. Mais tu ne dois surtout pas penser à l'âme de cette personne, mia protetto.

- Ils ne comprennent pas ce que tu fais, mais ils finiront par comprendre quand leurs yeux s'éteindront.

J'attrapais un couteau et le glissa dans mon soutien-gorge.

Une fois la séance terminée je repartis dans ma cellule. Nix a promis de venir plutôt ce soir car notre père serra absent.

Nix arriva en courant quand j'entendis des rafales de balle.

ADX // RÉÉCRITUREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant