ADX // RÉÉCRITURE

CHAPITRE 23 : X-rated ;

(Traduction : classé x)

Parfois je m'empêche de prononcer ses mots à haute voix. Comme si le fait de quitter ma bouche trop souvent pourrai les user.

Deviner de quel mot je parle ?

- Ta ...ta mère ... avec une sœur ... une sœur jumelle. Elle envier... énormément ta mère. Tu le sais déjà on ne t'a pas mentis là-dessus. Ta mère était une esclave sexuelle puis elle a été la mienne et on est tombé amoureux, commença mon père.

J'écouter son début de récit.

Mais je ne comprends rien.

C'est trop flou.

Sentant que mon père n'arrivait pas à continuer mon grand-père continua pour lui.

- Sa sœur ne la calculer pas. Elle ne s'était même pas rendu compte que ta mère avait disparu depuis deux ans. Mais un jour ta mère m'a demandé de parler à ton père. Sur le fait qu'elle voulait revoir sa sœur.

- J'ai refusé. Je savais que ça la ferait souffrir. C'était inutile. Mais elle a insisté. Alors j'ai accepté.

- Quand sa sœur a découvert sa vie. Elle était folle de jalousie. Elle voulait cette vie. Puis tu es né. Ça n'a fait qu'augmenter sa haine. Alors elle est partie sans jamais donner de nouvelle. Puis tu as eu 15 ans. Tu connais l'histoire. Tu étais seule à la maison et des hommes ton enlevés.

- J'aurais reconnu si ce n'était pas elle !

Je l'aurai su ?

Non ?

- Ava tu ne l'approcher jamais. Tu le sais elle n'aura pas commis cette erreur. Elle se ressemblais comme deux gouttes d'eau dans tes conditions c'était impossibles de les différentier.

C'est vrai. Elle venait toujours me voir quand il faisait sombre. Et ne m'approcher pas. Ne me toucher pas.

- T'a mère étais effondrer. On ne savait pas ce qui se passé. Mais on était habitué. Tu partais souvent dans un truc t'énervé tu prenez souvent l'air pendant plusieurs jours et revenir comme si de rien n'était. Mais on a vite compris quand on a vu ton couteau dans la chambre.

Je ne suis jamais sortie sans mon couteau. Fling oui. Mais jamais sans mon couteau.

- On a retourné ciel et terre. Mais rien. Au bout de six mois ta mère n'en pouvait plus. Elle est tombée gravement malade. Au bout de 7 mois Adeline nous a contacter. Nous disant que tu étais devenue une machine de guerre. Une arme létale. Elle nous a dit qu'elle ne te rendrait pas. Que tu penser que c'était ta mère. Alors quand ta mère a appris ça l'a détruit.

Adeline c'était son nom.

Ma maman ?

Tu ne m'as jamais trahi.

Je t'ai détesté toute ses années pour rien parce que ce n'était pas toi.

- Au bout d'un an il était devenu moins prudent et j'ai réussi à trouver une piste à Tokyo, continua mon grand-père.

- J'ai couru pour annoncer à ta mère qu'on avait une piste. Mais quand je suis rentrée dans ta ... ta chambre, parce qu'elle ne l'a quitté pas. Une mare de sang était autour d'elle. Elle s'était tirée dessus. C'était trop tard.