Ils sont l'opposer, elle fait partie de la royauté, il est un tueur à gage, elle sait très bien ce qu'est l'amour, tandis qu'il n'en connaît rien, elle est solitaire, il turait pour ses amis.
Mais malgré toute ces différences ils ont un point commun...
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Je le fixe, à travers le miroir, concentré comme jamais pour ne pas se louper dans la coupe qu'il me fait, ses coup de ciseaux sont nette et précis.
Un silence pesant dans l'air.
Sa lèvre pincer, mâchoire serrer et ses sourcils froncés lui donne un air encore plus sévère, certaines mèches de cheveux lui retombe sur les yeux, sa langue humidifie ses lèvres entre ouverte avant de passer à l'intérieur de sa joue, formant une boss.
Il est canon.
Il jette légèrement sa tête en arrière pour dégager son regard de ses cheveux.
Terriblement sexy.
Je le vois s'accroupir à côté de moi tout en déposant le ciseaux sur l'évier, sa main se place sur mon menton pour tourner mon visage vers lui, sont regard scrute les pointes de mes cheveux, désormais au niveau de mon cou. Il se replace devant moi, entre mes jambes, je le suis du regard, ce qui me fait tourner la tête.
Lui debout entre mes jambes, moi assise sur cette fichue chaise, il me surplombe.
Je lève la tête vers lui pour l'admirer, sont regard tombe sur le miens, sa main s'approche de mon visage, instinctivement, je recule brusquement, il fronce les sourcils avant de s'éloigner.
- J'ai fini. Declare-t-il.
Je me met debout pour m'observé dans le miroir, cour, sais tout se que je peut constater, rien d'autre n'a changé, je replace quelques mèches de cheveux, je secoue vaguement la tête pour les faire volé, je ne les sens même pas frôler mes épaules, je n'ai pas à me plaindre, je lui est donné feu vert sur la longueur.
Mon regard croise le sien à travers la glace, son éternels air lasse sur le visage, adossée contre la porte, sa tête posé sur celle-ci, les bras croisés contre sa poitrine, tout comme ses jambes, il me considère.
L'ambiance n'est pas très agréable, plutôt gênante, il me juge de haut en bas sans aucun frein.
- J'ai pas trop l'impression d'être apprécier par Élisabeth. Tentais-je en lâchant un rire nerveux.
- Ne t'inquiète pas pour ça, Élisabeth n'aime juste pas les personnes qui s'approche trop près de Cléo.
Je fronce les sourcils d'incompréhension, mes yeux se plonge dans les sien.
- Elle est amoureuse mais ne veux juste pas l'admettre.
J'acquesce.
- Cléo le sait ?
- Non.
Bordel, son ton aussi dur me donne des frissons.
- Pourquoi elle ne se l'admet pas ? Je demande en essayant de me détendre.
