Ils sont l'opposer, elle fait partie de la royauté, il est un tueur à gage, elle sait très bien ce qu'est l'amour, tandis qu'il n'en connaît rien, elle est solitaire, il turait pour ses amis.
Mais malgré toute ces différences ils ont un point commun...
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- Arrête de bouger !
- Mais ça me chatouille Cléo !
- Et bien fait avec !
Elle plonge à nouveau son pinceau à maquillage dans une poudre blanche pour venir me l'étaler sûr le visage, mon nez me pique et je ne pu m'abstenir d'éternuer une énième fois.
Cléo laisse échapper un souffle d'exaspération en levant les yeux au ciel.
On m'a maquiller des centaines de fois, mais à aucun moment on m'a étalé cette pâte beige -similaire à du ciment diluer dans de l'eau- et cette poudre blanche -ressemblant grandement à quelque chose d'illégal- sur le visage.
- Est-ce que tu peux m'expliquer au moins se que c'est ?
- La crème s'est du fond de teint, et la poudre s'est de la poudre matifiante pour que ta peau ne brie pas.
Je lui lance un regard septique qui me vaut un sourire moqueur de sa part. Mes paupières se ferment, laissant Cléo continuer son travail sur mon visage.
Des flash de la veille me reviennent en tête, Brivael, son corps froid mais trenspirant contre le mien, sa respiration saccager dans mon cou, ses mains crispé qui tiennent fermement la chemise que je porte.
Il n'a pas relevé se qui s'est passé, en aurait-il aucun souvenir ? L'odeur qui se dégageait de sa bouche me donne un aperçu de mes souvenirs, il était complètement arracher.
Pourquoi était-il dans cet état ? La peur ardente qui baigne dans ses yeux remplie de supplice daigne sortir de ma tête, tout comme les tremblement arriéré de sont corps.
Et il n'a plus parlé de ça, pas un seul mot sur le sujet, rien.
Ne sentent plus le doux pinceau de Cléo sur mon visage, j'ouvre doucement les paupières, retrouvant Cléo posté devant moi, me sondant d'un regard suspicieux.
- Que se passe-t-il dans t'as jolie tête pour que tu mette autant de temps à t'apercevoir que je ne te touche plus ? Me demand-t-elle sans savoir à quel point mon envie de tout lui déballer est immense.
Devrais-je lui dire ? Est-ce que Brivael m'en voudrait ? J'en viens presque à me dire que ce n'était qu'un rêve que mon esprit à construit de toute pièce pour assouvir mon envie de lui rendre la pareil, son manque de réaction à ce sujet me donne une conviction. Une boule se forme dans mon ventre lors de cette pensée, suis-je aussi folle que ça ?
- Rien d'important. Je réponds finalement après quelques minutes, bien trop longue minutes pour Cléo.
- Menteuse. Declare-t-elle en s'asseyant à côté de moi, sur le lit, me toisant soigneusement d'un œil qui Se vaut rassurant.
