Chapitre 10 | Brivael.

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🎧 Royalty - Egzod, Maestro Chives, Neoni 🎧

  Adossée contre l'encadrement de la porte, vêtu d'un t-shirt noir, laissant voir mes dessins d'ancre indélébile, accompagné d'un jean oversize de la même couleurs, je l'observe en train de se battre pour enfilé des talons que la vieille lui a prêté

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  Adossée contre l'encadrement de la porte, vêtu d'un t-shirt noir, laissant voir mes dessins d'ancre indélébile, accompagné d'un jean oversize de la même couleurs, je l'observe en train de se battre pour enfilé des talons que la vieille lui a prêté.

  Elle ne sait comment nouer les lacets autour de son mollet. Elle a été fini à la pisse ? C'est pourtant pas compliqué.

  Je laisse un souffle d'exaspération s'échapper de mes lèvres tandis que je marche vers elle d'un pas lent. Elle redraise son visage vers moi et je ne peux qu'être dans le déni en me rendant compte de ce que je m'apprête à faire.

  Ses iris me sonde avec méfiance, et elle a raison, la prochaine fois -si il y en a une- elle ira se faire foutre avec tout le respect que je ne lui dois pas.

  Je laisse mes genoux tomber au sol face à elle qui est assise sur le canapé, j'attrape les lacets qu'elle a au préalable lâcher.

  Je me dois de le faire...

  Je me dois de le faire pour ne pas faire attendre les dégénérés qui patiente au garage, la où la voiture d'Élisabeth et la mienne y sont garer.

  J'enroule ces bou de ficelle autour de mes doigts ornée de chevalière avant de commencer à entouré son mollet, délicatement, pour ne pas faire de celui-ci un rosbif, mes doigts frôle sa peau et des frissons apparaissent sur celle-ci, je ne la laisse pas indifférente et je me met à la caressé " pour l'aider à mettre ses talons", m'amusant avec ça peau, intéressant...

  Je noue finalement les ficelles en un nœud papillon, puis, fais de même avec le suivant. Je lève mon visage vers elle, adossée au canapé, les bras -emmitouflé dans un gilet en laine- croisés contre sa poitrine, je la scrute du regard, déposant mes yeux dans les sien et ce que j'y vois ne me plaît pas, de l'arrogance, de la malice, son sourire vicieux noie mes tripes dans la colère.

  Je me suis mis à genoux devant une garce.

  Je pose le bou de mes doigts sur ses cheville, du côté extérieur des ses jambes, avant de les monter doucement le long de celle-ci, tout en me levant doucement, je la fixe dans la brunâtre de ses iris noisette qui perde toute leur splendeur dans la seconde, son visage devient pâle, ce décompose face à mon touché bien trop chou pour la laisser indifférente, sans frissons qui dessine des minuscule points sur son corps peu couvert.

  Je ne peu pas voir ses bras mais je peu facilement deviner qu'ils sont également remplie de poil irisée grâce à la façon dont ses mains les agrippe.

  Je m'arrête juste avant de passer mes doigts sous sa robe, bien trop courte pour me laissé seul avec elle trop longtemps sans que je ne la déchire, avec consentement.

  Un sourire fière décor mon visage tandis que j'admire le sien décomposé par ce retournement de situation, il y à quelques secondes, c'était elle qui avait le dessus sur moi.

On Provoquera Des TsunamisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant