Chapitre 8: un réveil compliqué

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Moi:Aïe.... ma tête...
J'ouvre mes yeux et vois que je suis sur mon canapé.
Autour de moi il y a un bordel monstre.
Putain... ça à recommencer...
La lumière éclair la pièce où je suis mais quelque chose cloche... Le soleil se lève du côté du salon et se couche du côté de ma chambre.
Je me précipita aussitôt sur mon téléphone qui était dans mon sac.
Je regarde la date.

Moi: QUOI !?! On est le 28 décembre !?!

Je regarde l'heure. Il est déjà 9h30. J'ai reçu 15 appels. Ça doit être Ayumi.
Merde...
Elle m'a écrit : Nya,il faut que tu fasses une centaine de brochettes. Il faut que tu y aille à 20h.

Il faut vite que je prépare la viande et que je range mon appartement.
Je me met directement au boulot sans réfléchir à ce qu'il c'était passé.
Heureusement que c'est que le salon qui est en bazar. La dernière fois c'était ma chambre et je devais remplacer mon lit ... j'avais détruit mes lattes en bois...
Dès que je saigne mon alter de base se déclenche et c'est un cataclysme...
C'est ça... un vrai cataclysme... j'ai peur de ce pouvoir d'ailleurs... je veux faire du mal à personne mais Dès que je me réveille je me souviens de rien et ça me fait flipper...
À chaque fois je cours jusqu'à chez moi pour ne pas blesser qui que ce soit.
C'est un pouvoir tellement dangereux que je devais être attaché, enfermé avec des portes blindé... l'avantage de maintenant c'est que ma force à diminuer puisque les expériences que je subissait ce sont arrêté...
Quand je pense que j'ai enduré ça pendant 8 ans...
Mais heureusement que j'ai trouvé Sœur Yumeko.

Je range en deux temps trois mouvements mon appartement pendant que ma viandes se mélangent aux épices et à la sauce soja sucré...
Les heures passent et les brochettes se suivent...
Pendant qu'elles sont au four je prends ma douche et met une robe rouge Bordeaux longues et des talons noirs pour rester sobre. Un léger rouge à lèvres mauve et du fard à paupières noir et gris...
Une fois prêtes je mets le collier que ce fameux monsieur K m'a offert...
Je sors les brochettes du four et les mets dans un plats pour ensuite le glisser dans un sac isotherme pour qu'elles restent chaudes.
Je met mon long manteau noir et mon écharpe grise.
Je reçois un message de Ayumi m'indiquant l'adresse de cette réception.
Je prends l'ascenseur après avoir éteint toutes les lumières de mon logis et le four qui à fonctionné durant la moitié de la journée.
Je ferme la porte à clé sans savoir ce qu'il allait se passer durant cette soirée...

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