Chap 3: Le marché (tw sang?)

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Pdv Artemis :

Je sentit mon bras légérement engourdit, ce qui me réveilla. Je vit alors, en face de moi, un magnifique coucher de soleil. Le ciel, au pars avant bleu, prenait une teinte oranger. Quelques nuages percicter dans le ciel. La vue était sublime et je fus déçus de ne pouvoir l'immortaliser. Il deavit être 18h passer. Je tournit mon visage vers le poid sur mon épaule. Je remarqua qu'Aphrodite dormait encore. J'observait son paisible visage. Que ses lèvres était belle. Je me retint à cette pensée. Je me mis à rougir, sans raison particulière. Enfin, j'en avait tout de même une idée. A ma tête, on aurrait pu croire que je vennait de faire un rêve hérotique. C'est  alors que la demoiselle, adocé sur le haut de mon bras, se redressa. Elle, semblaît emmerger d'une ibernation. Aprodite possa son regard sur moi, avant de me nfaire n calme etv doux sourire. Je lui rendit en fesant de-même. Je me releva et tenda ma main vers Aphrodite, pour l'aider à faire de-même. Elle regarda , un instant, ma main , avant de lever la sienne. Avant qu'elle ne l'attrape, elle me regarda , comme pour me demander une confirmation de ma part. Je lui sourit en auchant légèrement ma tête. Elle attrapa alors ma paume et je recroviat mes doigts, pour cellé nos mains. Je donna un léger coup, avec mon coude, vers l'arrière, pour la relever. Une fois debout, elle me sourit, encore une fois, pour me remercier et se baissa pour attraper nos paniers, elle me donna le mien et nous commençames à avancer vers la sortit du parc.

Nos mains étais toujours cellé, mais je ne me dégagea par pour autant.

Pdv Aphrodite : 

Alors qu'Artemis et moi nous nous dirigions vers la sortit du parc, je me rappella d'un détail que j'avais oublier.

Aphrodite- Le marché !
Artemis- Le marché ?
Aprodite- Oui, je dois m'y rendre pour acheter des  oranges.
Artemis- Il est encore ouvert mais ne préfère tu pas y aller demain ? Les féstivités vont commençées dans quelques minutes, il sera donc compliqué de trouver des oranges.
Aprodite- Non, je dois en trouver pour ce soir. Rentre chez toi, je peut y arriver seul.
Artemis- Je viens avec toi ! Je ne peux te laisser dans un tel endroit seul.
Aphrodite- Comme tu souhaite, mais il y aura beaucoup de monde. On pourrait te reconnaître.
Artemis- Je ne suis pas vêtu comme lors de mes passages au village en tant que princesse. Il est donc quasiment imposible de me reconnaître.

Nous changeâmes donc de trajéctoire pour nous rendre au marché.

*éclipse du trajet*

Pdv Artemis :

J'aida Aprodite à trouver des oranges. Il était déjà tard et la plupart des féstivités nocturne avait déjà commencées. Nous nous étions séparer pour aller plus vite. Je parcourus l'intégraliter du marcher, et ce n'est qu'au dernier stand que je trouva enfin des oranges. J'en acheta 6 et je partit chercher Aphrodite.

⚠️le passage qui suit contient des mentions de sangs et de blessures légères⚠️

Pdv Aphrodite :

J'accélérais le pas. Il fallait que je rentre avant le diner. Etant consentré sur les stands et leurs articles soynieusement exposer, je ne remarqua pas les passants qui venaît à contre sens. C'est alors que je me cognit dans un mur. Le choc m'avait fait tomber sur les pavés. Je réouvrit rapidement les yeux. J'apperçus quelques passant qui  s'était retournés en entendant le son de ma chute, reprendre leurs marche. Je tournit alors la tête, et vit le "mur" que j'avais percuté. Le "mur" en question était en réalité un homme. Celui'ci semblaît être un riche bourgeois, peut-être même un prince. On pouvait facilement deviné qu'il était très musclé, au vu des plis que formait ses vêtements. Je n'ai pas eu le temps de finir mon observation, ,que celui'ci me mis un violent coup de pied dans le visage. Je sentit alors un liquide sortire de mon nez. L'homme n'arrêtait pas de lacher des jurons. Je m'apprétait à me relever, lorsque cette brute m'écrasa la main qui était censé me servir d'appuie. Je ne pue me retenir de lacher un fin cri de douleur et de surprise. Il s'appréta à me redonner un coup, lorsque, rien. Je réouvrit alors mes yeux que j'avais fermés en me préparrant à l'impact. J'aperçus une silhouaite féminine, se trouvant devant moi. Il ne ma fallut pas plus d'une demi-seconde pour comprendre que c'était Artemis. Son acte avait surprit l'homme, ce qui l'avait arreté dans son mouvement. Artemis se mis à hurler sur l'homme. Celui-ci leva sa main pour la frapper, elle aussi. Mais elle esquiva de justesse et lui mis un coup dans le ventre. L'homme mis sa main sur son ventre, en exercant une légère préssion pour "soulager" la douleur. Il regarda Artemis avec un regard d'assasin puis partit en pestant contre lui même, Artemis et moi.
Artemis soufflat un instant, comme signe de soulagement. Elle se tourna vers moi, et s'agenouia pour être à ma hauteur.

Artemis- Tu as mal quelque pars ? Ton nez est sacrément arangé.
Aphrodite- Ne t'inquite pas, j'ai uniquement un peu mal à la main.

Elle baissa son regard vers ma main. Elle l'a prit délicatement, tellement délicatement qu'on aurait pu croire que main était en porcelaine. Un caliou m'avait légèrement ouverte, mais rien de plus. Artemis sortit un mouchoir en tissu propre (Nda: je préfère préciser lol) et enveloppa ma main avec. Elle en prit un second (Nda: lui aussi est propre) et essuia le sang qui avait cessé de couler sur mon visage. Elle releva son regard et me fit un doux sourire.

Artemis- Tu es sur de n'avoir mal à aucun autre endroit ?
Aphrodite- Non, ne t'inquite pas.
Artemis- Au fait, j'ai trouver tes oranges !
Aphrodite- Merci beaucoup Artemis ! Je te rembourserais les oranges et je laverais tes mouchoir avant de te les rendres.
Artemis- Pas la peine de me rembourser Aphrodite, tu es ma meilleure amie. Tu peux garder les mouchoir, j'en ais des centaines.
Aphrodite- Merci, je te revodrais ça.
Artemis- Tout le plaisir est pour moi.

Je commença alors à me relever, lorsqu'Artemis me saisie les deux bras, en prenant garde à ne pas appuier sur ma main blessé. Puis elle me releva. Elle me sourit à nouveau et je fis de même.
Artemis refuça de me laisser seule, donc elle me ramenit jusqu'à chez moi. Père n'avait même pas remarqué que je lui avait ramené ses maudites oranges. J'alla directement me coucher après avoir déposé les fruits dans la cuisine. Cette journé avait était épuisante, non pas que le fait d'avoir était avec Artemis ne m'avait point déplut. Je rejoignit très rapidement les bras de morphé, et passa une nuit plus que correcte, en repenssant notre sieste, avec Artemis, dans le parc. 

Amour royal (en pause) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant