Amour royal (en pause)

Chap 4 : Les prétendants

NDA(note de l'auteur) : Mes chers petits lecteurs, je m'excuse de cette longuuee pause. Mais je pense qu'il est important de précise que je ne me force jamais à ecrire et que je ne souhaite pas changer cette "habitude". Le chapitre 4 (celui-ci) est déjà écrit depuis fin juin, mais sur papier. Pareils pour le chapitre 5. Si tout ce passe comme je l'ai prévu, le chapitre 5 devrais être publier dans la semaine qui suit ( j'avais seulement fini le chap4, et non le 5). Bref, bonne lectures à tous et je suis toute ouie si vous avez des propositions pour la suite de l'histoire, ne vous inquité pas, je ne mors pas ;)
bye bye !

Pdv : Aphrodite

Après m'être préparée, et avoir prisq mon petit-déjeuner, je sortie du manoir de mon père. Artemis m'a proposée de venir pour rencontrer, avec elle, ses premiers "possibles maris". Je sens que le journée risque d'être longue. Tout en me dirigeant chez Artemis, je ne peut penser au fait qu'elle se mariera certainement l'un d'entre eux. Cette vision m'évoque un pincement au coeur. Je ne vois même pas la raison qui me fait epprouver ça. J'aime Artemis, certe, mais seulement en tant qu'amie. Je pense que je m'inquite un peu trop, au fait que son futurs mari puisse être violent ou quelque chose qui y ressemble.
Après plusieurs minutes de marche, perdu dans mes vast pensées, j'arrive enfin au châteaux. Je n'imagine pas la tête qu'Artemis fera lorsque je vais lui annoncer que plus d'une centaines de calèches se trouvent devant l'entré du palais.

Pdv : Artemis

Mère s'occupe d'acueillir les invités, ce qui me laisse champs libre pour le moment. Aphrodite ne devrait pas tarder. En disant ceci, je la vois pointer le bout de son nez. Je lui indique le siège à ma droite. Heureuselent que Mère m'à demander d'avoir une "conseillère" pour "me soutenir dans mes choix". Comme si j'avais envie de me marier à 16ans. Après quelques minutes de comérages avec Aphrodite, ma mère arrive et nous fait signe de bien nous tenir. Je me redresse en vitesse et la personne à ma droite fait de même. Génial, sa commence.

M.Viquel, M.Barte, M.Dintger, M.Bamach, M.Skoty, M.ect....
Il est déjà 12h30, si ce carnage continue, on ne finira pas avant 4h du matin. Aphrodite m'a fait remarquer que le nez de M.Ganey ressemblai au bec d'un corbeau ou encore qu'une même girafe serait plus petite que M.Dockel. 13h; 14h; 15h; toujours plus d'abruti, tous aussi certains qu'il vont m'épouser.
Il est 18h. Les recontres privé ont été stoppées pour que tous soit près pour le bal de ce soir. Aphrodite est elle aussi aller se préparer. C'est mère qui a décider de ma toilette. Elle à sélectionner une longue robe noire, de fins gants de dantelles noires et ,à mon grand malheur, des escarpins. La  tenue est donc entièrement noire. J'avoue que se n'est pas vraiment mon habitude, mais cela me convient. J'enfile la robe et ajoute mon fidèle collier de perle à la tenue. Je place mes pieds dans les chaussures et glisse mes fins doigts dans les gants. Maude me tresse les cheuveux et m'en fait un chignon. Elle me mets également un soupson de rouges à lèvre. Une fois finit, celle-ci partie et au moment ou elle refermit la porte, Aphrodite entra dans la pièce. Elle était vétû d'une sublime robe vert-clair. Accompagné par de petites boucles d'oreilles. Ses cheveux était regroupée et attachées ensembles à l'arrière de sa tête. Elle avança et s'étalla de tout son long sur mon lit.
" Ca fait à peine quelques minutes que je porte cette chose et je n'en peux déjà plus!  Artemis je t'en supplie sauve moi de se fichu corset!"
Je gloussa avant de m'avancer vers elle pour désérer son cauchemar.
" Merci princesse
- Je t'avais pourtant déjà dit de ne pas m'appeler comme ça, nous ne sommes pas des inconues!
- ....
- Que se passe t'il ?
- Tu vas marcher avec ça ?  me dit-elle en pointant son doigt vers les escarpin.
- Ma mère en à décider ainsi..
- Dit moi si je me trompe, mais tu ne te serais pas fouller la cheville, il y a moins d'un mois de ça ? Et le médecin n'avait t'il pas préscrit que tu ne devais pas porté de talons pendants au moins un mois et demi ?
- Si, mais mère en à décidé autrement.
- Ridicule, venant d'un reine.
- Exact. Enfin bon, nous devrions y aller.
- Bonne idée si on ne veux pas se faire incendier par la reine.
- Oui mais avant ça...
Je pris le rouge à lèvres se trouvant sur ma commode et me rapprocha d'Aphrodite. Elle m'observa faire. Je me mis sur la pointe des pieds et lui appliqua, avec douceur, le maquillage.
- Parfait !
- Pfff, souflat-elle en rigolant, allons-y Princesse.
- Aphrodite !"

nous nous dirigeame à la salle de bal, en sautillant joyeusement. Nous adorons les bals.