Le trouple de super soldats.

3 - Pour toujours tous les trois.

Après une heure de discussion de la part des deux super soldats pour raconter ce qu'il leur était arrivé entre la chute du train, le bras en métal et Hydra pour Bucky et le réveil après 70 ans puis la découverte de Bucky vivant pour Steve. Abi avait du mal à mettre les choses en place dans son esprit.

Les deux hommes qu'elle avait aimé et qu'elle aimait toujours mais surtout qu'elle croyait morts depuis des dizaines d'années ne l'étaient enfaite pas et s'étaient retrouvés.

Steve- Que t'est-il arrivé à toi ma belle ?

Abigaïl- Quand tu t'es sacrifié dans cet avion ils se sont dit que le projet de super soldat avait été une réussite et que ce serait dommage de l'abandonner alors ils ont pris plusieurs volontaires, dont je faisais partie, pour recréer un sérum et le tester sur nous. J'ai été la seule survivante post sérum et ils ont décidés de me cryogéniser. Ils disaient que j'étais trop précieuse pour eux et ils ont voulu me garder, me cryogéniser pour me sortir uniquement quand ils auraient besoin de moi pour sauver le monde. J'ai accepté, je vous avais tous les deux perdu et plus rien ne me retenait là-bas. J'avais déjà accepté les conditions en lisant le contrat dès le début même si je n'avais pas réellement pensé au fait que ça fonctionnerait, je pensais que ça ne marcherait pas, mais pas que je serai cryogénisée plus de 70 ans.

Le récit de la jeune femme terminée, un gros câlin s'imposa et chacun versa quelques larmes, heureux d'être de nouveau réunis.

Abigaïl- C'était horrible sans vous, je pensais que je ne m'en sortirais pas.

Bucky- Pour nous aussi ça l'était, on a fait que penser toi depuis notre réveil.

Steve- Tu nous as tellement manqués, sans toi ça n'avait rien à voir.

La jeune femme sourit et les garçons essuyèrent ses larmes avant qu'elle ne se penche vers Steve pour l'embrasser longuement, faisant ensuite de même avec Bucky.

Abigaïl- Vous avez tellement changés tous les deux, Steve je t'avais déjà vu en plus grand et plus large mais toi Buck', ce bras je l'adore.

Steve- Il ne l'aime pas vraiment mais moi je l'aime bien aussi, sauf quand il m'étranglait avec sur l'héliporteur.

Abigaïl- Tout dépend des circonstances. Dans le lit je suis sûre que c'est une merveille.

Bucky- Ah là c'est bon, nous sommes sûrs d'avoir retrouvés notre chère Abi.

Steve- Oui, et j'en suis ravi.

Il se leva et porta la rousse dans ses bras, la faisant tourner autour de lui sous le regard amusé du brun pendant que les deux autres riaient aux éclats.

Tony- Bon bah je vois que vous la connaissez déjà. Votre amie ?

Bucky- En quelques sortes oui. Dit-il d'un petit sourire.

Tony- Très bien. Alors Mademoiselle Peterson, charmante jeune femme, accepteriez-vous un très bel homme comme moi à vos côtés pour vous montrer mon laboratoire par exemple et plus si affinité ? Termina-t-il sa phrase avec un clin d'œil.

La rousse aux yeux verts vit du coin de l'œil Bucky serrer la mâchoire, il avait toujours était jaloux, et Steve rire en sachant très bien comment allait se finir cette conversation.

Abigaïl- À ce que je vois la drague est de famille. Seulement mon cœur est déjà pris, et depuis bien longtemps maintenant.

Tony- Oh je n'avais pas compris que... Avec le grincheux, vraiment ?

Abigaïl rit.

Abigaïl- Le grincheux et le petit blondinet, plus si petit que cela d'ailleurs.

Les deux hommes se levèrent pour se placer de chaque côté de la femme, Steve avec un sourire contrairement à Bucky qui aurait pu tuer rien qu'avec son regard.

Tony- Oh d'accord, ceci est particulier mais qui suis-je pour juger. Je vous souhaite du bonheur alors et une bonne journée. Dit-il en commençant à partir.

Abigaïl- Merci vous aussi.

Les trois se rassirent dans le canapé.

Abigaïl- Ravie de voir que certaines choses ne changent pas.

Bucky- C'est ça moque toi, en attendant je n'y peux rien. Tu es magnifique alors forcément tout le monde te veux. Et puis maintenant que Steve n'est plus le petit gringalet de Brooklyn, je dois aussi faire attention à lui quand nous sortons. Regarde rien que la dernière fois quand nous étions ici, Sharon, euh Carter, elle...

Abigaïl- Attends quoi ?! Pause dans le récit s'il te plaît mon amour. Déjà Peggy a eu des enfants ?

Steve- C'est sa nièce ou son arrière nièce je crois.

Abigaïl- Mouais tu crois, tu es drôlement bien renseigné dis-moi. Dit-il en croisant les bras sur sa poitrine.

Bucky- Ah tu vois toi aussi tu es jalouse poupée.

Abigaïl- Oui et bien en même temps excusez-moi mais quand nous voyons vos corps j'ai de quoi être jalouse car je pense que plus d'une personne pose des regards lubriques sur vous. Et Bucky nous savons comment tu étais dans les années 40, ce n'était pas le cas de Steve au moins.

Bucky- Oui mais tu sais que l'on t'appartient poupée.

Abigaïl- Je l'espère bien.

Steve- Mais oui ne t'en fais pas. Dit-il en lui embrassant doucement l'épaule.

Abigaïl- En tout cas si cette Sharon s'approche de toi, je lui montrerai qu'il ne faut pas me chercher.

Bucky- Ouh Mademoiselle Peterson est vraiment jalouse.

Steve- J'adore ça.

Ils commencèrent tous deux à lui embrasser les épaules, faisant doucement glisser les bretelles de son top, dévoilant sa poitrine nue qu'ils se dépêchèrent d'embrasser.

Abigaïl- Stop les garçons, attendez deux secondes.

Elle se releva, remettant rapidement son haut, et partit fermer la porte de la pièce à clé avant de venir rejoindre les deux hommes qui s'embrassaient.

Abigaïl- Dites j'ai une question. Est-ce que lorsque vous vous êtes retrouvés vous avez couchés ensemble tous les deux ?

Steve- Jamais, on s'est seulement embrassé. Nous nous étions promis de toujours tout faire tous les trois, nous n'allions pas briser cette promesse.

Abigaïl- Mais et si j'avais vraiment été morte ?

Bucky- Alors ça n'aurait rien changé. On s'aime tous les trois, et c'est pour toujours tous les trois.

Elle vint les embrasser tour à tour avec un doux sourire, heureuse qu'ils aient tenus cette promesse même si elle n'aurait pas pu leur en vouloir de ne pas l'avoir tenu.

Abigaïl- Si vous saviez comme vous m'avez manqués.

Steve- Alors imagine comment c'était dur pour nous sans toi.

La jeune femme sourit de plus belle et retira son pantalon à Steve, emportant son caleçon avec, tandis que le blond faisait de même avec celui de Bucky.

Celui-ci une fois démunit de son bas, retira le haut de la jeune femme avant de retirait celui de Steve et finalement le sien, le bas de la rousse finissant par quitter son corps lui aussi.

Abigaïl poussa les deux super soldats sur le canapé, les faisant s'asseoir côté à côté, puis elle s'agenouilla devant eux.

Abigaïl- Laissez-moi me faire pardonner pour cette absence.