⊱ 𝗦𝗠𝗢𝗞𝗘 || 𝗛.𝗦𝗔𝗡𝗭𝗨 ⊰

06 || Stronger than you think

- Madame, la livraison est arrivée.

- Très bien. Où en sont les comptes du mois dernier ?

- Cinq-cent-vingt transactions ont pu être effectuées avec l'aide du nouveau personnel.

- Attribuez leur une bourse.

- Mais une grosse somme d'argent à été perdu et le dossier a été brouillé volontairement. On estime la perte à plus d'un million cinq cent mille yens.

- Falsifiez le dossier et mettez cette perte au profit du transport.

- Mais Madame les camionneurs ne s'en sortirons jamais si je note ça.

- On remplacera la perte en augmentant la paye des aviateurs. Ce dossier ne dois plus jamais refaire surface.

- Très bien.

- La marchandise est elle en sécurité ?

- Oui, comme vous l'avez demander nous l'avons déplacer dans le hangar sud. Néanmoins, nous avons remarqué la perte de deux caisses direction Tokyo.

- Que contenaient elles ?

- Des cœurs et des poumons de première qualité. Mais la perte de bénéfice est minime et ne posera aucun problème à la société.

- Je veux que tu me fasse une liste de toutes personnes étant entrées en contacte avec ces caisses de près ou de loin. Il y a probablement une taupe parmis nous.

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Akumako marchait à toute vitesse dans les couloirs luxueux du Bonten d'une démarche furieuse, Sanzu sur ses talons.

- Bon tu comptes me suivre encore longtemps ?

- Oui.

- Pourquoi ?

- Curiosité.

- Fait une phrase.

- Et bien je suis curieux de voir où tu vas aller et ce que tu vas faire.

- Là, dans l'immédiat je voudrais allez chier, tu comptes me suivre jusqu'en enfers ?

- Oui.

- Tu me fais chier.

- Au moin t'auras pas besoin d'aller aux toilettes.

- Ferme ta geule s'il te plaît.

- Baisse d'un ton avec moi, cracha il.

- Si je baisse d'un ton tu ne pourra plus m'entendre avec ton mètre quatre-vingt.

Il la saisit par la gorge et la bloqua entre son corp et le mur.

- Tu veux vraiment jouer à ça ? Il sorti son arme. Je te rappelle ce qu'il s'était passer la dernière fois ?

Le métal froid pressa sa cuisse gauche.

- J'ai déjà tiré une fois je peux très bien le refaire deux fois.

- Je t'ai déjà dit de tirer une fois je peux très bien le refaire deux fois.

Ils se fixerent dans les yeux un instant et rien ne se passa.

- Je le savais. Tu peux pas tirer, pas vrai ? Ton boss te l'a interdit je suppose.

Il souffla de rage et reserra la prise sur sa gorge. Les yeux de la jeune fille s'illuminèrent. Soudain, elle mordit violemment sa main, l'obligeant à lâcher prise, et mit tout son poid à tomber sur lui. Il se rattrapa comme il put, et la fille atterrit à califourchon sur lui, les bras de chaques côtés de sa tête. Il ne tenta pas de se débattre et l'observa plutôt sans rien faire. Il pouvait sentire sa respiration saccadée sur son visage.