Chapitre 2

69 4 0
                                    

 Lizio

Elle a un sacré caractère, jamais au grand jamais une femme n'avait osé me tenir tête . Pourtant je le voyais sur son visage angélique, je lui inspirais peur, je lui inspirais crainte, je lui inspirais dominance. Eh bien évidement, elle avait raison, elle devait me fuir, car pour elle, je suis et serai définitivement un long tunnel noir, et non la lumière qui l'attend au bout. Je suis une âme noire qui finira par tacher la sienne. Je la ferai tomber dans mes pêchers les plus sombres et l'entrainerait au fond des flammes de l'enfer avec moi. Mon besoin absolu de dominance envers elle est plus fors qu'avec n'importe quel femme. Pourtant, je ne suis pas misogyne, au contraire, je suis pour l'égalité, mais cela ne m'empêche pas de me montrer imposant envers la gente féminine, et plus particulièrement envers elle. Elle fait ressortir en moi une sorte de rage, de colère tout en étant attendrie par sa bouille d'ange. Je ne l'aime pas, au contraire, mais elle m'attire, c'est plus fort que moi. Son caractère de tigresse la rend d'autant plus intéressante. Je me pose certaines questions. Jusqu'à où l'a t'ont brisée pour quelle m'affronte sans ciller ? Certes elle a peur de moi, mais je sais, que à l'avenir elle n'hésitera pas à me pousser dans mes derniers retranchements. Malheureusement pour elle, quand j'atteins mon seuil de tolérance, je deviens un monstre, ce qui apparemment n'a pas l'air de l'inquiéter, attend de voir de quoi je suis capable mon ange.

Ses yeux divinement bleus luttent contre les miens, mais cela ne dure pas longtemps avant que de son plein gré, elle ne les baissent, me laissant une victoire délicieuse au fond de mon cœur de pierre. Une victoire jouissante fasse à la soumission qu'elle venais de faire preuve envers moi. Je sentis ma main valsait violemment et là, je réalisas ce qu'elle venait de faire. Elle avait eu le putain de Cran de motter la main de son visage .

- Qui es-tu ?

Mes lèvres s'étirèrent en un sourire joueur, lui annonçant à elle que jamais elle n'aurait dû me repousser, que jamais elle n'aurait dû ne serait-ce que me toucher pour enlever le contacte qui nous unissez. D'une traite, ma grande main veineuse entoure sa mâchoire puis descend s'enrouler autour de son cou pour le serrer de sorte que je sente son pou battre sous mon pouce. Je contrôle ses respirations, c'est moi qui ai le pouvoir de sa vie, moi seul, et si elle croie un instant le contraire, alors je lui prouverai d'une manière beaucoup moin douce qui en ait le maitre. Il serait tellement dommage de la tuer maintenant et de ne pas profitait d'une si belle femme. Je me réjouissais de la contrôler, jusqu'à qu'un sourire vide vienne se loger sur son visage.

- Serre plus fort, Hijo de puta.

Je crus halluciner ! Elle était folle ? Ça j'en étais certain, mes a ce point, c'était suicidaire. Putain, je vais la plomber. Elle ne mesure pas l'empereur de la situation, elle ne sait pas qui se tient en face d'elle, et elle sait encore moins à quelle point je peux lui faire mal. La souffrance chez moi n'a aucun limite. Je la damnerais, rien qu'en posant mes mains sur elle .Je suis sale, remplie de crime et de trafics, de sang et de drogue. Je la souillerai en un temps record. J'assure ma prise autour de son coup, en garantissant de la serrer au point qu'elle en saigne, si elle me cherche, elle me trouvera.

- Répète sa putain !

Bizarrement, sa bouche pulpeuse ne répond pas. Elle la vue, elle a vu que je la tuerai s'il le fallait, même si cela n'était vraiment pas mon premier choix vis-à-vis d'elle. Je ne comprends aucun mot d'espagnol, mais je ne suis pas con pour savoir ce que c'est trois mots signifie. Elle me pousse à lui faire du mal, parce que s'il y a bien une seule chose que je n'autorise pas venant de sa bouche, se son bien ses trois putain de mot : fils de pute.

- Ouvre ta grande gueule, je t'ai dit de répéter !

Entre coéquipiers, ce mot ne signifie rien, c'est pour cela qu'avec eu ça ne me dérange pas, parce que c'est une insulte non-visée, ont le prend sur le ton de la rigolade. Mais venant de sa bouche, qu'elle le pense ou pas, qu'elle la sorte sur le ton de la rigolade ou pas, je ne l'accepte pas et ne l'accepterai jamais. Face à son silence qui m'irrite, je déplace ma main de son cou pour empoigner sa hanche en y ajoutant la deuxième main de l'autre côté afin de la soulever et de la poser sur le sol, à côté de moi. Une fois pied sur terre, je saisis son bras afin de le tordre. Elle laisse un son de douleur franchir cette barrière rose , puis releva le regard vers moi. Putain ses yeux ! Elle me regarde d'une telle intensité, son putain de gris nuancer avec ce bleu roi et a tombé, ses yeux en amande son ma rédemption. Finalement, ils ne comportaient aucune touche de bleu électrique, mes peut-être que la couleur avait changé à cause de son chagrin. Elle est vide, complètement vide ou alors elle est juste une très bonne actrice, car aucune étincelle ne se trouvent dans ses pupilles, les seules qui y sont, c'est moi qui les provoque. Elle est moi somme similaire, elle n'a pas encore exploité se coter là, mais quand elle aura atteint le même sommet que moi, les mêmes limites, c'est-à-dire aucune, nous serons liées. Car j'en reste persuader, elle est moi avons vécu des choses que jamais nous aurions dû vivre a un âge aussi bas, nous étions trop jeunes et voilà ou ça nous a conduit, à des êtres sans cœur, vide d'émotion, en tout cas pour ma part. Je m'y suis noyé, je suis dans ce regard hypnotisant qui me mènent à une obsession d'autant plus incorrigible. Elle me donne envie de l'aider, et de lui montrer qu'elle peut y arriver et qu'elle surmontera ses peines un jour ou l'autre. Je sentis un liquide gluant coulait sur mes yeux. C'est à ce moment précis que je ne pourrais plus me contrôler. Putain, cette pute venait de me cracher à la gueule. Du revers de la main, j'essuie mes yeux et fait passer mon pied violemment sous ses fines jambes, qui cédèrent a mon contact, la faisant tomber sur les fesses. Cette chute lui paralyse le bas du dos. Maintenant, elle n'est plus en état de répondre, elle est par terre, sous mes ordres. Je m'accroupis à côté d'elle, et replace une de ses mèches de cheveux qui avait chuté sur son visage à cause de mon croche-pied. Je prends sa tête en coupe et plante mes yeux dans les siens pour lui montrer la colère qu'elle venait de susciter en moi.

Jusqu'en enfer mon ange .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant