Suit moi jusqu'à la mort [ SOUS CONTRAT D'ÉDITION ]

Chapitre 16 : Repas de famille

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Bonne lecture ❤️

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Chapitre 16 : Repas de famille

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Cette nuit a été l'une des plus magique de toute ma vie. Je viens juste de me réveiller et je suis épuisée. Je me retourne du côté gauche et je vois que Eduardo est toujours en train de dormir. Je me rapproche un peu de lui et je l'admire, j'admire cet homme qui est tout simplement l'un des plus beau que je n'ai jamais vu. Et vu ce qui c'est passé hier, il est encore plus beau que jamais. Je crois que je me suis endormie dans la chambre rouge hier car je n'ai aucun souvenir d'être venue dans sa chambre hier soir. Sa respiration est profonde ce qui signifie qu'il est encore en train de dormir profondément. Ses beaux yeux sont clos et je le trouve encore plus attirant. Ses cheveux encore en bataille de la nuit que nous venons de passer.

Je ne peux pas m'empêcher de m'approcher encore de lui. Avec ma main je caresse sa joue et je passe sur ses paupières avec mon pouce. Je descends ma main pour passer sur son cou et je sens son rythme cardiaque qui est calme et paisible. Ma main parcourent ses abdos sculptés à la perfection, cet homme est tout simplement parfait. Je peux maintenant apercevoir ses tatouages et en particulier un prénom qui est tatoué sur son cœur. Il y a marqué « Aitana », je me demande bien qui est cette femme. Sans faire attention j'ai posé ma main sur ce tatouage et je sens Eduardo commencer à s'agiter signe qu'il est en train de se réveiller. Il fronce les sourcils et il commence à papillonner des yeux. Je rencontre enfin ses deux magnifiques iris turquoises.

- Bonjour, monsieur... Dis je.

Il sourit.

- Bonjour, mademoiselle Helena... Dit il avec un ton sarcastique.

- Tu as bien dormi ? Demandais-je.

- Très bien mais ce n'est pas poli de détailler les gens comme ça pendant leur sommeil c'est même carrément illégal. Dit il en rigolant.

- Dit celui qui dirige un cartel de la drogue. Dis je en rigolant.

- Le plus grand cartel de la drogue que le monde est jamais connu, n'oublie pas ça et ce n'est que le début. Dit il plus sérieusement.

- C'est ton but ? Lui demandais-je.

- C'était le rêve de mon père, que je reprenne sa place après sa mort et c'est ce que j'ai fait. Je veux qu'il soit fier de moi et il a fait de moi un homme impitoyable. Il m'a montré que les sentiments étaient une faiblesse, que la pitié n'avait pas sa place dans un monde comme le nôtre et il avait totalement raison. Car si tu éprouves la moindre pitié, le moindre sentiment, tu tomberas et tu sombreras dans la faiblesse. Dit il en se tournant vers moi.

- Pour moi les sentiments ne sont pas une faiblesse, ils nous rendent plus fort et nous permettent de donner le meilleur de nous même pour la personne que nous aimons. Quand tu tomberas pour une personne et que tu ressentiras quelques chose pour elle tu comprendras et tu verras. Dis je sûre de moi.

Il me regarde intensément presque avec fascination et une lueur que je ne reconnais pas en Eduardo.

- Je comprends, et je vois... Dit il dans un chuchotement presque inaudible.