Lady Coralie -The Royal Baby

Prologue.

Samedi 16 juin 1857
Calèche royale

Après avoir attendu des heures et des heures dans cette calèche royal tiré par de sublimes chevaux blanc, nous étions enfin arrivé à notre lieu de lune de miel, je revais de cet endroit depuis des jours maintenant mais kio ne m'en avais jamais parlé, il avait évoqué vaguement le sujet en parlant de notre voyage de noce mais il ne m'avais jamais réellement dit où est ce qu'il allait m'emmener pour célébrer notre mariage mais maintenant que nous étions arrivé et que j'avais bien profité de ce voyage pour le chercher et lui faire part de tout mes fantasmes, kio était chaud comme de la braise et attendait juste que l'on soit tout les deux dans la chambre pour pouvoir les réaliser mais aussi pour profiter pleinement de notre voyage de Noce qui selon moi commençait très très bien. Je le regardais dans les yeux, souriais en coin, laissais mes mains glisser ou plutôt effleurer son corp...
Je m'amusais à le chercher mais je savais que tôt ou tard, j'allais le regretter d'une manière qui personnellement... ne me faisait pas peur au contraire même... j'attendais que ça, être puni par le roi kio...
Tout en affichant un délicat sourire à l'intention de kio qui essayait de poser sa main sur ma cuisse caché par ma imposante robe, je sentis que petit à petit, la calèche s'arrêta devant un château blanc, en pierre et monstrueusement beau, il était de loin le plus beau des château et avec sa petite rivière en amont et les délicates fleurs qui perdaient leur pollen à cause du vent, ce coin me semblait être le paradis et semblait sortir d'un rêve, c'était juste magnifique et je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, c'était impossible. Kio m'avait fait la surprise de m'emmener ici pour notre voyage de noce et j'avais encore du mal à prendre conscience de ce qu'il m'arrivait, pour moi tôt ou tard ça allait disparaître pourtant, ma vie avait changé, j'étais devenu la reine et si je n'avais pas écouté mes parents et si je n'avais pas accepté de venir ici, jamais je n'aurai revu ce bel inconnu qui n'était autre que kio... Le prince de CastleBurry.
En replaçant une petite meche qui descendait devant mes yeux, je jeta un coup d'œil aux serviteur, aux gardes et aux dames de compagnies qui souriaient déjà en voyant kio descendre de la Calèche en faisant bien sur attention à son costume princier qui le mettait parfaitement en valeur, je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder de haut en bas mais avant que je ne pus faire quoique se soit, kio m'offrait sa main pour que je puisse descendre en toute sérénité de la calèche.
Je l'accepta en lui adressant un tendre et délicat sourire puis descendis afin d'être près de lui juste avant que les gardes, serviteurs, dames de compagnies et cochets s'inclinèrent devant nous pour nous souhaiter la bienvenue, ils étaient toujours souriant et voulaient toujours que nous soyons en permanence satisfait de leur service, ils le prenaient tellement à cœur qu'ils faisaient tout ces gestes de monarchies avec tant de délicatesse et d'automatisme qu'on aurai dit que c'était inné chez eux.

Kio- prenez nos bagages

Face à ce que kio venait de dire aux gardes, je tourna de suite ma tête vers celui ci et pencha légèrement ma tête sur le côtés pour lui faire comprendre qu'il manquait quelques chose. Kio avait toujours eu du mal avec la politesse et la courtoisie mais il ne devait pas oublier que ces certitude étaient des personnes comme lui et comme moi, il devait les respecter et un petit s'il vous plaît n'était pas de refus, ils travaillaient assez dur pour qu'on soit poli avec lui et en voyant mon regard persister sur lui, kio compris de suite et me deposa un léger et délicat baiser sur le front avant de retourner regarder les gardes de manière plus délicate cette fois ci juste avant qu'il ne reprenne la parole afin de compléter sa phrase.
Certe j'étais la nouvelle souveraine de CastleBurry mais pour moi la courtoisie et la politesse étaient importants, mes parents m'avaient bien élevé et certes la plupart des rois et reines étaient méchante et désagréables avec leur personnel mais pour ma part, je voulais les respecter et les traiter comme une personne normale.