Il les voyait dansé, rire, manger
Prisonier de l'illusion
Du pouvoir qu'ils pensaient avoirMais ces gens était aveugle
Prenant pour de la soumission ce qui était de la pur hypocrisie
Et de la joie une haine viscéralMais ils continuaient encore à s'étalé
Dans leur vie d'un ennuis mortel
Et d'un vide d'une profondeur abyssaleSans jamais ouvrir les yeux pour voir
Regarder
Cet empire bâti sur du sable
Pareil au naufragé qui voit son bateaux en train de couler et qui se cache les yeux pensant empêcher la catastropheLeyro les regarda, le coeur froid et le sourire au lèvre car lui savait
Il s'enfuiraitPour quitter ce monde superficielle
Qui avait fait des maîtres des esclaves de leurs pouvoir
Et du pouvoir leur seule raison d'êtreAlors ils s'étaient persuadé être ces personnes là
D'avoir un réel pouvoirEt ils avaient opprimés
Démoli
Détruit
Semer tant de souffrance
Fait tant de mal
A ceux qu'ils disaient inférieurDéployer tant d'énergie pour les faire ressembler à ce qu'ils voulaient
Mais l'être humain est aveugle
A la douleur de l'autre
Qui crie
Qui hurle
Dans les ténèbres
Dans le folle espoir qu'on l'entendePersonne ne répond
Personne ne voit ses larmes couler
Et il pleure
Il imploreLui voulait vivre
Pas survivre
Il voulait exister
Pas être dans l'ombre d'un vulgaire oppresseursQui s'en fout de lui
Niant jusqu'à sa valeur humaineAlors Leyro avait appris à baissé les yeux
A obéir
A refouler tout cet univers de rêve
D'espoir
D'histoire
Que nous avons tousSans jamais oublié
Et il avait crié son droit de vivre
Ce soir làCar cette autre que ces gens niaient
N'était il pas un être humain comme eux ?
N'avait il pas droit au même prétention ?
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Recueil de poème .
ŞiirUne lente et douce symphonie s'élève dans mon âme avec le vent peureux. Mon coeur tombe avec la nuit. Mes yeux coulent avec la pluie. Mais mon esprit s'élève dans cette océan noir et scintillant. Et cette douce symphonie ce sont mes pensées les plus...