La vie au Royaume de Naha : Partie 1 [Terminé]

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C'était une belle journée pour un printemps où les chaussures s'entremêlait dans la boue de saisons orageuses qui n'était point faite pour les Dieux, ils abandonnèrent leur statures jusqu'à ce que une des mythologies au monde naquit du noir écarlate.

Tout a commencé dans un Japon alternatif, où tout les jours, un petit moine shintoïste tapa le Gong. Cette tradition, dans le Royaume de Naha, était que ; quand le Gong partira d'un ton plus jovial et émietté également d'un coup du Gong en partie, l'Élu est sortit, du moins il à l'âge pour être une Icône, un Guerrier prenant tout les coups d'attaque de toute les paradis et lieux mortuaires. Tout a commencé dans un Japon alternatif, où tout les jours, un petit moine shintoïste tapa le Gong. Cette tradition, dans le Royaume de Naha, était que ; quand le Gong partira d'un ton plus jovial, émietté également d'un coup saisonnier et larmoyant, ce que faisait penser la population de la place du marché, la Quête de la Halle se fera, par un des Icône, dont Aiko, qui fut rédemption assez tôt dans son travail de Samurai. C'est donc bien vrai que la légende sur les Orcs était mitigé comme en première partie ceux qui vivait le plus vers les points d'eau, comme CycleÉtain ; quant à l'autre partie de l'ethnie elle, se s'entrait à faire des camps et pratiquait leur propre magie, comme un lynx écarlate bon pour destrier et jeter des flèches de givre. Les Orcs qui était blanc comme la paix ne s'aimait point avec les Orcs de guerre mais leur technique en armurerie est excellente pour les combats.

Les échoppes enfuis dans les dalles ainsi que les éphémères stands de vivres et de tannage de leurs rouages aux brodeurs et tissus avoyant l'œil de la clientèle vendaient leur marchandises de puis ou moins bonne qualité. Naha était une cité prospère, ou il ne régnait point de violence avec les autres Royaumes. Les enfants criaient par leurs jeux dans les rues sillonnantes d'un soleil presque caniculaire. Un seul homme - je dis bien un seul homme - marchait à contre sens de la foule, d'un chapeau de maille local portant deux katana saillants possédant un arc au dos. Il répondait au nom de Aiko. Il était toujours apprécié de la foule, il était l'icône d'une société de Samurai. Le jeune homme était un devenu du de Icône numéro deux au détriment de l'unique et dernier tant convoité place parmi le Shogunat.

Le monde se mettait bouche bai, comme si il était ralentit, à tous les endroits de rues Aiko se fit connaître en Icône et délaissait un peu le rôle mais pour lui, il faisait toujours partit des Samurai. Au coin d'une rue, perpendiculaire face au centre du Royaume, un enfant diseur de ragots et d'informations siffla Aiko, ce dernier l'avait vu grandir et considérait toujours ce « gamin » comme racleur de rues.

Que proposes-tu comme nouvelles, petit ? S'exclama Aiko.

Tu es l'Icône, il n'y a rien à dire, tous les propos après neuf heures du matin quand le Gong sonna que tu es devenu le centre des langues. J'ai une petite nouvelle qui peut assurer une prospérité sur le Royaume mais pour cela il faudra sortir ta bourse de pièces à quinze.

J'en donnerai à onze.

Douze et demi argent. Demanda le « gamin ».

D'accord. Conclu le Samurai.

Des Orcs arrivent en masse depuis la côte du serpent d'argent, et crois moi, ce ne sont pas des tanneurs d'après les su que j'ai pu entendre quand une des tavernière... enfin tu as compris... Ils ont aussi des animaux.

Je vois, mais pour l'Orc, où est-il ?

Toujours à la taverne, ce bougre, tout le monde doit dire qu'il ne se passe plus rien jusqu'au jour où la femme du tanneur à un lien sanguin avec le général Orc, elle s'est confiée au grand Secret Anonyme des Sages à son quotidien spirituel et comme ce bon à rien à toujours des bouteilles des caves de saké où hydromels européens, le gardeur de secrets n'a pas pu tenir sa langue. Dit le « gamin ».

– Bonne journée à toi petit.

Merci et n'oublie pas que mes propos sont fait d'or. S'exclama le gamin.

Aiko acquiesça tout en remontant la ruelle de la taverne, en ouvrant avec fracas la porte.

L'Orc, où-est-t'il ? Demanda l'Icône.

Il y avait à peine six personnes pétrifiés par cette entrée qu'il rapprochèrent leurs choppes ; en pensant à un éventuelle rixe qui pourrait selon ces paysans renverser leur tant désiré alcool. Au comptoir, un homme encapuchonné avait une choppe à la main.

C'est toi, l'Orc ?

Que vois-tu comme couleur sur mes mains ?

Des mains de massacreur avec votre guerre de cent vingt ans. L'humain ne vous aime peu, et je ne tolère pas que vous vous êtes affranchi la côte du serpent d'argent. Je veux que vous partez dès l'aube.

Ne donne pas d'ordre Humain !

L'Orc sortit une dague.

Ca ne changera rien, Orc. Racla Aiko. Tu as violé une pauvre femme, et ne renie pas ce que tu as fait.

L'Orc fit un pas et élança son bras en direction de la carotide de Aiko qui glissa au sol, et se retrouva derrière le monstre vert. Il le poussa dans la cheminée en criant, lâcha la dague et partit.

Demain, le jour de ta cérémonie d'Icône, je viendrai, et tu verras de quel bois je me chauffe. Je me fous de Naha, on partira de la côte le travail fait.

Pillard !


Il partit en direction d'un camp Orc à six cent mètres de la Cité.

Aujourd'hui se ressemble mais demain sera différent.




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