Aiko, un jeune Samurai protégeant le Royaume de Naha à une mission très secrète que lui donne son Shogun, Hiroshi.
Il doit quitter son havre de paix pour passer par les mers désolées de Oni et de sirènes trancheuses de gorges avant d'atteindre la j...
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Le lendemain allait être le début de cette longue quête de faire partir l'Ombre à tout jamais chez les Nordiques. Ishijo de Kyoto était devant la meule prêt à aiguisé ses deux katana. Un homme au loin arriva, et le jeune Samurai convoqua ses troupes, l'homme était encapuchonné d'un haut rouge. D'un geste de main, ce qui semblait être un Orc ébranla l'armée de Aiko. La jeune troupe se mit à vomir où eurent des spasmes mortels. Il n'y avait plus personne - je dis bien presque - en vie.
- Approche, Orc ! cria le jeune homme en dégainant ses deux katana.
- Tu ne connais rien de la mort ! dit l'Orc. D'un geste de main, ce dernier propulsa Aiko à la limite d'un ravin mais le jeune homme ne se laissant point faire, décota une flèche et visa la cheville ; sous un cri strident avec qu'une voix se fit entendre
***STOP***
Le loup était de nouveau là, avec toute sa meute, tandis que des bruissements se firent entendre dans la forêt.
- Tu parles notre langue, canidé ? demanda Ishijo.
Le loup, d'un pelage blanc, aux yeux perçants bleues fit un geste de sa tête.
- Dois je abattre ton Maître, loup-garou ?
- Ce n'est point mon Maître, mais il viendra, et je ne suis clairement point garou ; pourquoi utilise-t-on ce terme ? Fais ce que tu veux de cet Orc, il a tué le peu des soldats que tu avais, et une femme est faible même avec deux lames - elle contesta - nous allons si vous allez garder cet avant-poste...
L'Orc sorcier avait désormais crainte devant les deux lames de Aiko. Les deux lames formèrent un X sur la tête du prochain défunt puis les lames tranchèrent la tête sous une pluie de sang.
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Un homme tomba d'un des arbres, s'accrochant à la monture.
- Désolé pour le dérangement.
- Vous avez tué des hommes par votre faute.
-C'est la faute de l'Orc... contesta l'étranger. .
- Quel est votre nom ? demanda Aiko.
- Yurghen, Yurghen d'Edinwhal. Bienvenue dans l'Ouest de Vanaheim ou les vestiges nippons sont toujours présents, il y a encore quelques habitants mais attendez une seconde, pour qui travaillez vous ? demanda l'étranger.
- Hiroshi, Shogun de Naha.
- Veuillez m'excusez, nous pensons que...
- Inutile de vous excuser. Et vous, pour qui travaillez vous ? demanda Aiko.
- Je ne viens pas de ce monde. dit Yurghen, je rend visite quand le temps est cyclique. Mon monde vient de nul part mais il y a de la vie derrière, une lande, une parcelle d'herbe sur une base de météorite comme l'île où nous sommes actuelle. Viens avec moi et Fenrir.
-et elle, on la laisse ici ? demanda Aiko.
- Il faut bien un garde pour un avant-poste. J'enverrai des Orcs de mon armée par un pacte disons compliqué. Vous savez ce que regorge cette île à moitié, tel une tomate dans un marché. Votre Shogun vous ment. Nous arrivons bientôt au Ragnarök, au recommencement d'êtres évolués maniant le temps, mais il a trouvé un potentiel en vous. Il faudra aller dans toutes les Cités pour stopper l'Apocalypse.
- Quel est le but final ?
- Assainir ce que les druides et elfes ont fait de la magie. Ils doivent payer. Ici, les Orcs naissent naturellement contrairement à chez vous. siffla Yurghen.
Aiko s'abaissa, puis il y eu une poignée de main assez forte entre les deux chers.-
- Viens avec moi chez la sorcière.
Aiko s'abaissa auprès d'Ishijo et rengaina ses katana. Ils arrivèrent dans une forêt profonde ; les deux personnes avaient pour monture Fenrir le loup géant. Une petite maison se fut voir dans un décors noirâtre.
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Yurghen rentra le premier dans la demeure, petite était-elle. La sorcière avait les cheveux longs blancs graisseux et une canne. Des oignons avec des clous étaient attachés sur le plafond et d'autres talismans.
- Bonjour, Gaijin. Veux tu savoir ce que tu vas devenir ? demanda-t-elle.
- Je ne cherche pas à le savoir. Je suis suffisamment abîmé par mon âge pour trouver une force diluvienne. dit Aiko.
Les deux personnes prirent son corps en le poussant dans du sel et d'autres mélanges qui endormit net le Samurai.
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Il se fut propulsé par les plus anciennes divinités qui l'accompagnèrent.
VIENS, NE CRAINS RIEN
Le jeune Samurai fut bouche bai par la monde des étoiles. Il portait une toute nouvelle armureen voyageant dans l'un des mondes.
Il fut réveillé d'un râle allongé dans la mixture chamanique. Il était temps de passer dans la seule et dernière Cité japonaise.
