La Chronique des Bridgerton (revisité)

Pardonne-moi

-Je... Puis-je commencer ?

-Bien sur, mais allez y doucement je ne veux pas que cela prenne une tournure Dramatique.

-Tout d'abord, je veux que tu saches que je t'aime. Je ne pourrais jamais ressentit autre chose pour toi. Mais, saches que tu fais une grave erreur. Tu te reposes sur quelqu'un de mort. Pardonnée moi, mais je trouve cela d'un ridicule.

-Par pitié, Lilia. Je t'ai dis de ne pas aller trop loin.

-Mais c'est la vérité ! Simon !

-Je ne peux Je Son bégaiement prit le dessus. Il respira puis repris d'un ton calme. Je ne peux continuer vous entendre dire cela. Vous me prenez pour un homme cruel. Je ne peux pas avoir d'enfants.

-Mensonge ! Tu ne veux pas donner raison à un mort. Ton père n'est plus. Je t'en supplie Simon, je veux juste que tu réfléchisses, je vais te laisser du temps et de l'espace. Lilia le fixait les yeux brillants, puis elle s'en alla dans sa chambre.

Simon passa la nuit à réfléchir, à peser le pour et le contre et il prit sa décision.

Lilia avait envie de passer sa matinée à marcher, pour réfléchir et juste penser. Qu'allait dire Simon ? Allait-elle enfin pouvoir donner vie ? Toutes ces questions lui brouillaient l'esprit. Elle était tellement prise dans ses songes qu'elle ne fit même pas attention au cavalier qui fonçait droit vers elle. Et l'accident se produisit. Le cheval venait de percuter Lilia. Elle fut projetait au sol, par chance elle ne prit aucun coup de sabot.

-Est-ce que vous allez bien ? Madame ?

-Je... J'ai mal.

-Je vais chercher un médecin.

Entendant ces dernières paroles, Lilia fut prise d'une sensation de fatigue et ses yeux se fermèrent.

-Madame ? Madame ? Ouvrez les yeux.

-Que... Que s'est il passé ?

-Un cheval vous a fonçait dedans et vous avez du vous cogner la tête car vous étiez inconsciente. Mais vous avez l'air d'aller mieux. Je vais vous examiner. Le médecin ausculta Lilia et finit par partir, son cas n'étant plus urgent. Lilia commençait à s'endormir de nouveau quand la porte s'ouvrit.

-Je suis arrivée le plus vite possible.

-Simon, je vais bien.

-Tu es sur ? J'ai eu tellement peur de te perdre. Je ne pourrais vivre sans toi.

-Simon je suis là et je vais bien. Ne t'inquiètes pas. Elle prit sa tête et la posa sur sa poitrine. L'expression terrorisé de son visage se transforma en une expression soulagée. Lilia se sentait mieux et même apaisée.

-Simon ?

-Oui ?

-Pardonne-moi. Pardonne moi d'avoir agit comme cela. J'ai réfléchis et je sais que nous pouvons vivre ensemble de notre amour et...

-Je te coupe, mais non.

-Plaît-il ?

-Je... Je veux essayer. Avec cet incident j'ai réalisé que je peux vivre sans toi, que tu es ma force, tu es ce qui me maintien en vie.

-C'est une déclaration ? Les deux se mirent à sourire.

-Je suis sérieux.

-Et moi je t'aime.

Simon l'embrassa et ils se touchèrent avec douceur. Simon se déshabilla, bascula sur le lit et aida Lilia à faire de même. Il l'embrassa sur tout son corps tandis qu'elle haletait, la chaleur la parcourant. Il s'immisça en elle, fit basculait son corps dans des vas et viens. Il continua encore et encore jusqu'à ce la jouissance entra en scène. Simon resta en elle et il ne la quittait pas des yeux.