Libre, libre, l'air que je respire
Sur ma peau, la caresse d'un temps nouveau
À chaque battement d'aile, je survole eau,
Ciel et paysage enchanté, au son de la lyreIl n'est plus, le temps des contrés arides
Mes larmes ont arpenté le désert
Et un oasis à fleurit en mon sein, plus de cœur videLibre, libre, le vent qui me berce,
Me porte jusqu'au cieux,
Et même au dessus des nuages. Le bleu
De l'azure m'a donné mes lettres de noblesse !Destin enchanté, bonheur fugace
Au premier son de la cloche des damnés
J'avais déjà quitté leur rang, au désert j'ai préféré la boutasseLibre, libre
Comme l'aigle qui a su surpassé la faux,
Le tonnerre et les nuages,
Je nous souhaite de voler au-dessus des maux,
Je suivrais l'oiseau, pour de plus vert pâturage
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Envie de proses... infinie poésie [en correction]
شِعرQue dire, que dire si ce n'est... Un rire insensé au bord du désastre La main tendue froide et glaciale d'un noyé Un gouffre souriant, un désert éclatant, La nuit, d'une brillance que le jour n'a jamais su égaler Et pourtant au petit matin, on remer...