Chapitre 7 : POV Hermione

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Petite note rapide avant le début du chapitre : Le contenu pour adulte c'est pour maintenant! Mais, en cliquant sur cette fanfiction vous le saviez déjà! ;) Bonne lecture!!

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 Nous étions tous installés dans le salon de la maison biscornue. J'étais assise en tailleur sur le tapis un livre dans les mains, appuyant mon dos sur le canapé. Derrière moi se trouvait Ron, qui s'amusait avec mes cheveux tout en discutant avec ses frères et Harry.

Je levais légèrement les yeux pour regarder notre petite assemblée et finis par tomber sur les yeux bleus de Fred. Il ne me regardait pas directement, il avait le regard fixait sur la main de Ron, qui s'amusait à entortiller autour de ses doigts une mèche de mes cheveux. Il avait le regard sombre, n'aimant pas l'attention qu'avait son petit frère à mon égard, je souris à cette constatation. Ce sourire eut le mérite de le faire lâcher la main de Ron et de poser son regard sur moi. Quand il remarqua que c'était un sourire moqueur, il se racla la gorge et se renfonça dans le fauteuil, se situant en face de moi. Personne ne semblait faire attention à nous, ils étaient tous prit dans une conversation sur le Quidditch, pour ne rien changer, alors je décidais d'en profiter et déclenchais l'étape 2 de mon fameux plan.

Je dépliais mes jambes, faisant mines d'avoir des fourmis dans les pieds à cause de ma position précédente. Ce soir-là, je portais une petite robe blanche qui remontait légèrement quand je remuais. Je savais qu'en étendant mes jambes que de là où il se tenait, il avait vu la dentelle blanche de mon tanga. Ce qui confirma mon hypothèse c'est son nouveau raclement de gorge et le rose que prenait ses joues. George, à ses côtés, lui lança un regard intrigué, ne comprenant pas ce qu'il se passait avec sa moitié. Il tourna le regard vers moi et je lui fis un petit sourire timide, faisant semblant de relever juste les yeux de mon livre. Il retourna alors à sa conversation, ne voyant aucun problème. Je fixais mon regard sur Fred, mon sourire s'élargit pour se faire plus malicieux. Il avala sa salive difficilement, sa pomme d'Adam remonta et redescendit lentement dans sa gorge.

Je relevais les genoux afin de les replier sur le côté, de sorte que lui seul ait une vue sur mon postérieur. Son regard s'assombrit et se posa immédiatement sur l'endroit où ma robe venait de remonter exagérément. Je le vis crisper ses mains sur les accoudoirs du fauteuil, tout en se mordant la lèvre inférieure. Je ne pus m'empêcher de sourire face à l'effet que je provoquais en lui, alors que je ne l'avais même pas touché. Je devais admettre que j'étais satisfaite de le voir ainsi, il était dans tous ses états et j'étais persuadée que s'il n'y avait pas eu les autres, il n'aurait pas hésité à me rejoindre.

Ginny nous sortit de notre petit jeu, en se levant du canapé. Elle nous souhaita bonne nuit, étant fatiguée de la journée. Harry la suivit de près, depuis son arrivée au terrier, ils avaient réussi à négocier avec Molly, pour partager l'ancienne chambre de Percy. Je ne sais par quel miracle, ils avaient réussi là où beaucoup avant eux avaient échoué. Cependant, une condition avait été posée, ils ne devaient rien faire d'irréfléchis. Ce qui en traduction de la langue de Molly Weasley signifiait : pas de sexe.

Ils montèrent ensemble main dans la main pour aller se coucher et je ne tardais pas à suivre le même chemin qu'eux. J'aimais beaucoup être au terrier avec mes meilleurs amis et la famille Weasley mais je n'avais que rarement des moments rien qu'à moi, des moments de parfaite solitude. Je profitais alors des soirées, où j'avais la chambre de Ginny rien que pour moi. C'étaient des moments où je pouvais être dans ma bulle, rien ne pouvait m'atteindre. La plupart du temps, je prenais un bouquin et je lisais jusqu'à pas d'heure, chose qui m'était impossible de faire quand ma meilleure amie était dans la pièce. Je me mis rapidement en pyjama et me glissais sous mes draps. Avant de commencer ma lecture, j'entendis Ron aller se coucher ainsi que les jumeaux montés en même temps que lui, se moquaient de son grognement animal. Une fois que les jumeaux eurent atteint leur chambre, je me plongeais dans la suite de mon livre.

FremioneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant