Chapitre dix-sept

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CODY

Mon père à frapper ma mère quand il a appris qu'elle allait travailler. Juste une tape sur le bras pour lui signifier qu'il n'aimait pas ça, que c'était pas respectueux. Moi je suis sûre que c'est parce qu'il n'aime pas l'idée que d'autre homme que lui la touche.
Après que ma mère soit partie sans que je lui dise au revoir, que j'aie déposer une couverture sur le corps frêle à mon père et que j'aie nourri mon chien, je m'enferme dans ma chambre et allume mes lumière de Noël. La fête est passer depuis longtemps mais je trouvais ça quand même génial alors je les aie laisser où elles étaient. Je prend ma guitare dans la coin de ma chambre et vas m'asseoir sur mon lit aux couvertures blanche. En fait je ne joue pas vraiment de guitare. Je n'ai jamais appris et je crois que quand je joues, j'invente des accords. Mais ça sonne bien et ça me relaxe. Je penses à Bianca. Je me sens mal de l'avoir laisser toute seule. Elle a besoin d'aide. Ça se voit. Et j'ai envie de l'aider. Je veux qu'elle se sente mieux. Elle n'est pas passer à vélo aujourd'hui. Peut-être que ses parents l'ont laissé tranquille. Mes pensées sont interrompues par Pouf qui passe par sa petite trappe. Il saute sur mon lit et je carresse longuement ses oreilles après avoir déposé mon instrument par terre. Les yeux de mon chien se ferme et sa langue glisse de sa bouche. Il est en train de s'endormir alors, je vais barrer la petite porte. Je ne veux pas qu'il sorte la nuit. J'ai peur de ce qui pourrait lui arriver. Je regarde mon lit et je remarque que l'ensemble ferait une bonne photo. Ma guitare et mon chien coucher sur le dos, la langue pendante. Je prend mon appareil photo sur mon bureau de travail et prend quelque cliché. Le bruit réveille mon chien et il change de position se qui gâche toute la photo. Mais bon. Il est déjà 10 heures et je suis fatigué. Je décide donc d'aller brosser mes dents, enlever mes vêtements et me glisser sous mes couvertures. Les deux ventilateurs au coin de ma chambre, la laisse fraîche au contraire de la température extérieure. Pouf est déjà couché sur l'oreiller à côté du mien. Je prends mon iPhone est va me promener sur les réseaux sociaux sans trouver rien d'intéressant. Je ferme les yeux et pense à ce que serait ma vie si mes parents étaient différents. Si l'alcool n'empoisonnait pas leur corps. Ma mère et mon père sont de bonnes personnes, mais, malheureusement, la boisson les a détruits. Parfois on mange tous à la table, les jours où ils sont plus sobres, et je peux voir leur petite étincelle de vie dans leurs yeux. Quand mon père fait une blague, que ma mère lui prend la main en riant et qu'elle lui dit qu'il est stupide. J'aimerais qu'ils soient toujours heureux comme ça. Je dois vraiment les aidés. Comme je sois aidé Bianca. Je dois aidé tout le monde à se sentir mieux si je veux me sentir bien moi aussi. Je suis incapable de voir des gens souffrir sans avoir mal à mon tour.

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 18, 2015 ⏰

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