5 Seconds Of Summer .

University-Calum Hood

Information: Cette histoire a quelques traits de ressemblance avec la fan fiction et livre: After

Note: Histoire écrite à la première personne du singulier, dans la peau de Eléa Alléman, jeune fille de 18 ans.

Six Octobre

Mon réveil sonne, mes yeux s'ouvrent grands, alors que mon esprit vagabonde déjà depuis quelques heures maintenant. C'est enfin le grand jour, le jour que j'attends depuis petite, ce à quoi je me suis préparée si laborieusement pendant toutes ses années de scolarité, mon entrée à l'université d'oxford en dominante littéraire.

Je tire mes draps, et me lève prête à affronter le monde d'un pas déterminée.

Je passe par la salle de bain, je prends une douche rapide, m'habille d'une robe au motif fleuri et je chausse mes baskets stan smith.

Je prends aussi le temps de lisser ma tignasse frisée pour me donner un air plus sérieux et organisé plutôt que de ressembler à un mouton qui n'a jamais eu la chance de connaitre le peigne.

-Eléa, dépêche toi, il est déjà sept heures trente. J'entends ma mère m'appeler d'en bas. Je retourne dans ma chambre pour attraper mon sac. Je suis triste de quitter la pièce où j'ai passé tant de temps, à étudier particulièrement, mais il le faut et puis je me console en me disant que je reviendrai sans doute durant les vacances mais pas pendant le week-end, le campus d'Oxford se trouve tout de même à quatre bonne heures de chez moi, je ne peux pas me permettre de perdre autant de temps sur la route.

Je descends les escaliers, mon chien Max m'attend en bas les oreilles rabaissées, allongé dans son panier, Max sent que je vais partir et par conséquent il semble déprimer.

-Ma chérie, j'ai emballé tes tartines du petit-déjeuner, tu mangeras sur la route.

Mama arrive dans l'encolure de la porte, le sourire aux lèvres, je la prends dans mes bras bien consciente que je ne pourrais plus m'abandonner à cette routine avant bien longtemps. Maman est ma seule famille, c'est une femme extraordinaire et débordante d'énergie, elle me soutient beaucoup et à tout fait pour que mon rêve d'entrer à Oxford se réalise.

Je verse mon eau chaude sur le sachet de thé posé dans le fond mon thermo.

Maman et moi nous installons dans ma mini fiat blanche et nous démarrons. Un dernier coup d'œil vers ma maison d'enfance, et je suis prête à prendre un nouveau départ.

Quatre heures de trajet plus tard.

Nous arrivons sur le campus universitaire rempli d'étudiants qui déchargent leurs affaires des voitures. Tous ont l'air particulièrement enjoué, certains enlacent leurs parents,leurs frères et sœurs ... Bien que tout cela ait toujours était mon rêve, je n'arrive décidément pas à défaire ma ceinture et à sortir de la voiture. Ma mère m'attrape la main toujours posée sur le volant, elle la serre doucement ce qui m'envoie l'élan de courage dont j'ai bien besoin.

Je sors de la voiture, l'air frais me frappe le visage et décoiffe légèrement ma coiffure, en contre partie le soleil me force à troquer mes lunettes de vue pour des lunettes de soleil. Je sors la feuille de renseignement de ma poche où est indiqué le lieu de ma chambre dans la cité universitaire sur une carte du campus. Maman m'aide à prendre l'une de mes valises et nous voilà parties.

Je constate que ma chambre appartient à un immeuble merveilleusement bien situé, ce qui me ravie. Les couloirs grouillent d'étudiants eux aussi occupés à s'installer.

J'ouvre ma chambre, la numéro 11, avec la clef qui m'a été attribuée par voie postale. Maman et moi entrons. La chambre semble avoir été coupée en deux, d'un côté elle est peinte en blanche et n'arbore aucune décoration spéciale mais de l'autre le mur est peint en rose et recouvert de paillettes. Une jeune fille, rousse et allongée sur le ventre au travers du le lit sur lequel le voile du baldaquin accroché au plafond retombe. Elle est occupée à se limer ses ongles toute en écoutant un morceau provenant certainement d'un boys band.