3.La famille impériale

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      Arrivée au bal, je me senti envelopper d'une atmosphère lourde. Une ambiance que je n'ai jamais sentie auparavant. Je ne reconnu pas grand monde du fait qu'il y avait beaucoup de personnage secondaire. Ce qui me tracassait le plus c'est que je ne voyais pas l'empereur et donc que la personne à l'origine de ce bal n'était pas là. C'était très bizarre et très mystérieux. Je me baladais dans la salle de bal, qui était immense. Il y avait toute sorte de nourriture, de dessert, de gâteau et de boisson. Toutes les personnes présentes dans le bal portaient des toilettes majestueuses, des parures luxueuses et avaient des manières irréprochables. Je contournais les visages du regard, puis, tout à coup, les lumières s'éteignirent et la famille impériale fit son entrée.

L'empereur entra en premier. Il avait des yeux bleus ressemblant à la mer qui est caressée par le vent, et ses cheveux était dorés et ondulés. Il commença son discours en faisant entrer sa fille Labella Van Derner. Elle était magnifique. Elle avait de long et brillant cheveux dorés ondulés, et une tenue des plus remarquable. Une robe rouge vif avec des joyaux dorés et un magnifique ruban bordeaux entourant sa taille. Elle avait aussi un collier des plus curieux. C'était le joyau le plus précieux et le plus rare. Il s'agissait du diamant Hope. D'après certains ouvrages, il n'en restait presque plus sur terre et il possédait des vertus magiques comme la guérison ou encore la protection. Mais d'après ce que j'avais lu, le pouvoir dépendrait du porteur du collier mais cela ne reste que des mythes. La princesse s'asseyait à coté de l'impératrice. Celle-ci avait des cheveux acajou bouclés tressé de façon très particulière. Elle était vêtue d'une étoffe violette avec de la dentelle blanche ce qui faisait son charme. Elle avait des yeux d'un noir profond, qui semblait enfouir une inquiétude importante et distinguée. Je ne savais pas pourquoi, même en ayant été une lectrice du roman, car on ne parlait pas beaucoup de l'impératrice Van Derner. Je lançais des regards de droite à gauche jusqu'à ce que je sois sous une crise de colère à cause d'une personne inattendue.

Le roman et le passé : deux identitésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant