2. Comment ?

5 0 0
                                    

               Je me préparai afin d'aller à cette cérémonie. Je m'habillai avec une robe bleu azur pour attirer l'attention car à présent, j'étais la fille du duc Lestrade et je deviendrais l'amie la plus proche de la princesse Van Derner plus tard, après ce bal. De plus, d'après le roman et après m'avoir vu dans le miroir, je possédais de magnifique cheveux bouclés châtain foncé, des yeux noisette, une peau douce, et un apprentissage irréprochable des étiquettes, que ce soit impériale, bal ou thé, je les connaissais tous et je les appliquais parfaitement. Lorsque je fini de me préparer, je descendis et me dirigea vers mon carrosse où père et mère m'attendaient. J'étais fille unique. Je tenais de ma mère ses cheveux bouclés châtain et de mon père ses yeux noisette.

     Durant le trajet jusqu'au palais impérial, je réfléchissais aux différentes personnes dans lesquelles Delphine aurait pu être incarnée. « Je ne pense pas qu'elle se soit incarnée dans la peau d'un personnage de la famille impériale. Le plus sûr serait Aya, la fille du duc Luttbett, qui était mon amie d'enfance mais que ces derniers temps nous nous sommes éloignées et d'après certaines rumeurs je l'agressais. Enfin, tout était écrit dans le roman. De plus, elle deviendra elle aussi une amie proche de Mlle Van Derner. Cela serait à mon avantage. De toute manière il n'y a qu'en elle qu'elle puisse se réincarner, à part si elle se réincarné dans cette fille, nous pourrions changer ce funèbre destin à coup sûr et plus rapidement. Cependant, les chances sont minces. » Après avoir bien réfléchi, je penchais plus sur la possibilité de la duchesse Aya.

Place au second problème qui était comment savoir si c'est bien à Delphine que je parle ou à Aya et sans paraître suspecte. Le temps passa très vite dans le carrosse quand je réfléchissais à ce problème. Nous étions déjà arrivés au palais, et à la descende du carrosse j'eu la ruse pour reconnaitre son identité. « Cela pourrait marcher, voir même à la perfection sans avoir la moindre once de suspicions. »

Le roman et le passé : deux identitésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant