Je suis Jahia, les problèmes de mon petit frère me mettent en danger. J'essaie de l'aider mais les désastres s'abattent sur moi. Un soir assez habituel pour moi mais pas pour Joyca va tout changer. Son aide va t-elle lui apporter des malheurs ou me...
Jordan se retire doucement de mon étreinte et reste quelques seconde face à moi en me regardant dans les yeux, il termine par un léger sourire et se recule.
Jordan : Je vais rentrer chez moi, je passerais vous chercher demain vers 11h pour aller à Paris.
Moi : D'accord, j'ai hâte à demain.
Jordan : Moi aussi, repose toi bien.
Il sort ensuite de ma chambre puis de l'appart, il est parti avec un petit sourire affiché sur son visage, il est tellement beau.
Moi : RAPH !
Raph : Oui.
Il entre dans ma chambre.
Moi : Tu devrais éteindre la télé et aller te coucher, demain il faut se lever on va à Paris.
Raph : Avec Jordan ?
Moi : Oui.
Raph : Pourquoi faire ?
Moi : Pour acheter ton set-up.
Raph : Trop cool.
Il vient vers moi et me fait un câlin avant de partir se coucher.
Je prend une petite douche rapide et pars me mettre au lit.
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Sur ces beaux messages échangés je m'endors en attendant impatiemment demain.
Il est 9h je me réveil et je vais courir une heure, je réveillerai Raph à mon retour.
Je ferme à clef et part faire le même trajet que je fais depuis deux mois.
Je cours avec la musique, profite des rayons du soleil qui traversent ma peau et du vent qui fait bouger les feuilles. Je suis un peu à l'écart de la ville, c'est un chemin qu'utilise la plupart des gens qui aime avoir un beau paysage.
Je cours, je cours, et malgré la musique dans mes oreilles j'entend des pas qui me suivent. Surement un coureur qui fait le même trajet que moi. Pour en être sur je décide de ralentir légèrement sans que ça se remarque trop et bien sur mes doutes sont réel parce que la personne derrière moi ralentis aussi. J'éteins la musique discrètement et fais genre de ne rien avoir remarqué. Je ne sais pas quoi faire d'autre, j'ai peur.
Après avoir réfléchit quelques seconde et après avoir remarqué qu'il n'y a personne aux alentours, donc personnes pour me venir en aide, je choisit de m'arrêter brusquement et me retourner.
Moi : Romain !
Romain : T'as un beau cul quand tu cours.
Il me dégoute.
Moi : Mais t'es un malade. Laisse moi tranquille.
Je vais pas mentir mais à ce moment précis j'ai vraiment peur, il est vraiment très violent.