Chapitre 8

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🍋 : léger

Il se retourne vers toi, et te regarde comme si tu existais. Ça te fait bizarre. C'est la première fois que tu vois une telle expression chez lui.

Tp: - Je.. vous admire. Je veux apprendre.

Livaï: - Qu'est ce que tu racontes. Tu es celles qui a eu tout les points au test. Tu as des notions avancées. Je ne comprends pas ce que tu veux. ( tu ne pensais pas qu'il se rappellerait de toi.) vous étiez beaucoup lors de l'examen.
   
Tp: - Tout. Je veux tout. Tu le regarde, de dos, en partant, tu lui fais un sourire.

Très tard le soir, de la chambre, tu devines un corps à l'entrée de la porte, sans même y jeter un œil, tu fais comme si de rien n'était. Tu ne pensais pas qu'il allait tenir sa promesse, du jeux. C'était pour toi, un truc stupide pour passer le temps.

Il dors très tard.
Tu as envie de lui demander si la lumière de la bougie le dérange mais tu n'oses pas.
Tu espère qu'il dormira bien cette nuit, car se reposer sur des chaises durs, ou un sol qui craque ce n'est pas réparateur biologiquement, ni physiquement. Même si le lit est très grand, Le caporal Livaï qui est tout au bout, t'apporte une présence rassurante. Tu te sens moin seule.
Tu t'endors.. quand au beau milieu de la nuit tu entends:

Livaï: - Farlan!! Il fronce les sourcils. Et respire très fort.

Une agitation nocturne est dû à un traumatisme du passé, et tu suppose qu'il doit en faire parfois, et bien évidemment, en parler à personne. Tu te met au dessus de lui, en lui serrant les mains.

Tp: - Livaï.. Livaï tout va bien. C'est un mauvais rêve.

Il ouvre les yeux.
La pénombre cache une partie de son visage.

Il te regarde comme si la barrière froide habituelle avait disparu

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Il te regarde comme si la barrière froide habituelle avait disparu. Il se rapproche de toi.. pose sa main doucement sur ton visage..
descends doucement ses doigts, jusqu'au coin de ta bouche. Tout en posant ses yeux sur tes lèvres, il te les caresses, et descends sa main sur ton cou. Il est si magnétique que tu en reste figée.
Il te tire les cheveux et ramène ton visage très près du siens. Il fait un stop. Le battement de ses cils, touchent presque ton visage. Ta poitrine contre son torse ressens sa chaleur. C'est exaltant au point où ta respiration s'accélère petit à petit.

Il te lâche. Et se retourne. Sans rien dire.
Tu ne sais pas quoi faire. Dans la plus grande incompréhension.

 Livaï x Reader intenseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant