MAGICAL FRIENDSHIP 1 ( CORRIGE)

40-Nouvelle amitié

Aymeric

Quittant des yeux le magnifique visage de Thérèsa, je remarquais que Will n'était plus là.
Je rentrais dans la tente où il se trouvait.

- Ça sent la déception amoureuse ici... Beurk! Quelle odeur !
- Je ne suis pas amoureux Aymeric.
- Alors pourquoi tu es malheureux parce que tu dois t'éloigner d'elle ?
- Laisses moi tranquille tu veux ?
- J'ai raison.
- Tu as tord!
- Prouves le ! Sors de cette tente et amuses toi comme les autres s'il n'y a rien.

Il se leva brusquement et sorti. Je le suivis, non content de l'avoir poussé. Il demanda son verre à Dylan et le bu d'une traite.

- Vas y doucement !

Il me jeta un regard noir que j'ignorais puis allais rejoindre Deby. Je ne savais pas pourquoi mais je devais lui parler.

- Salut, dis je en m'asseyant. Je peux m'asseoir là ?
- Tu l'es déjà, souffla t-elle d'agacement.
- Je tenais à m'excuser.
- Je comprends les raisons qui t'ont motivées le loup. Tu es pardonné. Maintenant tu peux déguerpir.
- Tu as la facilité de d'adapter parfaitement avec les autres. La preuve, tu es un membre externe de la meute du camp, les sorcières t'adorent, enfin la plupart et les vampires ne manquent jamais de t'inviter à traîner avec eux mais pourtant avec moi ça ne passe pas ? Je suis si difficile que ça ? Ou juste au dessus de tes forces ?
- La technique de la provocation ça ne marche qu'avec Will.

J'écarquillais les yeux de surprise.

- Comment tu sais que je l'utilise avec Will?
- Ça fait plus de deux mois qu'on traine ensemble, pitié tu te croyais discret ? Même si on s'évitait soigneusement crois pas que j'évitais la bande tout entière.
- Je tiens à m'excuser pour mon comportement. Tu es une fille géniale et je m'en veux de ne pas l'avoir vu plutôt. J'aimerais vraiment devenir ton ami.
- D'accord, mais nos concours du regard le plus assassin vont me manquer, rit elle légèrement.

Je souriais aussi et pris d'une pulsion qui ne venait pas que de moi, je la prenais dans mes bras. Au début, immobile, elle enroula doucement ses bras autour de moi.

- Tu devrais sympathiser aussi avec les filles. Rien que pour tes câlins de nounours elles t'accepteraient Aymeric.

Je lui souris encore avant de lui promettre que je le ferai. Je me détachais de notre câlin et partis accomplir ma promesse.

Je venais de me faire une grande amie.