8 juin

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   Point de vue de la mère :

On était le 8 juin, lorsque je me suis rendu compte qu'Aoi n'était toujours pas descendu de sa chambre. Il n'avait peut-être pas entendu son réveil, ça arrive. Une fois dans sa chambre, je le secouai un peu pour le réveiller, sans résultat. En repensant aux somnifères et à la femme dont il nous avait parlé, j'ai pensé à un suicide pour aucune raison. J'ai vérifié sa respiration au cas où, plus rien. J'ai fondu en larmes, mon mari est arrivé en se précipitant pour me demander ce qu'il se passait.

-<< Il ... il ... il est ...mort ! Sanglotais-je.

- Que dis-tu ? J'espère que c'est une blague ? Dit mon mari perdu.

- J'aimerais bien. >> Lui répondis-je.

Nous avons appelé les ambulances, elles sont arrivées avec la police qui ont cherché une cause à sa mort.

Trois heures après, nous étions à l'hôpital avec notre fille, qui ne comprenait pas ce qui se passait. Un médecin nous informa qu'une importante dose de somnifère a été retrouvée dans le corps d'Aoi et qu'il s'agirait bien d'un suicide. La police est arrivée au même moment pour nous dire ceci :

-<< Nous avons trouvé des somnifères et un journal plutôt étrange.

-Les médicaments nous ont été prescrits par une psychologue. Et je n'ai aucune idée de ce que peut être ce journal, répondis-je à un policier>>.

Le lendemain, le même policier a sonné pour nous dire qu'ils sont allés dans tous les endroits qui étaient nommés dans son carnet et que par la conclusion notre fils était fou. Il aurait vu un cadavre que les policiers n'auraient pas trouvé.

La dame en blancOù les histoires vivent. Découvrez maintenant