Chapitre 14

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" silence " HAHAHA on fait moins les malins ! 

" murmures désapprobateurs des criquets "  Vous disiez bla-bla-bla et bla-bla-bla...

" mauvaise foi des criquets " Et puis nanani et nanana...

" sortie discrètes des criquets " Voilà je vous ai bien eu avec ce nouveau chapitre. C'EST CA FUYEZ !!!

" instant de réflexion personnelle " Ce disputer avec des criquets met bien en lumière mon état psychologie...Je ferais mieux d'aller me coucher.

BONNE LECTURE NABI & KENIE

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Le dos d'Isaïah était mouillé et couvert de graviers, et son arme était clairement visible puisqu'il tenait sa veste à la main. Thaï, le vit montré son insigne à une employée de l'hôtel qui se précipitait sur le téléphone, et la jeune femme reposa lentement le combiné après avoir vu son identification. Les gens chuchotaient et les regardaient passer, et la rousse ne pouvait pas s'empêcher d'admirer la façon dont le brun pouvait arborer ce redoutable « air d'autorité » quand il en avait besoin. La rousse, absolument lessivée, gardait la tête basse et le suivait silencieusement. Tout en montant, elle se demanda si son partenaire irait dans sa propre chambre.

Ils ne s'entendaient pas fabuleusement bien. En fait, ils avaient essayé de se tuer l'un l'autre. Elle ferma les yeux dans l'ascenseur, essayant de ne plus penser du tout. Mais Stride ne sembla même pas hésiter en se dirigeant vers la chambre de la jeune soldate. Bizarre. Peut-être qu'il avait juste envie de rentrer dans celle-ci pour pouvoir l'étrangler tranquillement. Ou alors il voulait récupérer ses affaires et retourner dans la sienne.

Les épaules de la rousse se détendirent un peu, et elle laissa l'emprise de ses pensées et actions se relâcher alors qu'elle ouvrait la porte. Son coéquipier avait eu l'occasion de lui tirer dessus. Plus d'une fois même. Il ne l'avait pas fait, mais elle ne pouvait pas totalement lui faire confiance, surtout après le combat qu'ils venaient de faire.

— Je pense que demain, nous devrons commencer à voir les choses d'une autre façon, dit Isa en s'arrêtant près de son lit et en tenant sa veste pour l'examiner de façon critique avant de la jeter avec dégoût. Il commença à détacher son armement tout en parlant, regardant le lit et essayant désespérément de se replonger dans leur affaire plutôt que dans la douleur des souvenirs et des nouvelles ecchymoses.

— Jusqu'ici, ils n'ont commis qu'une seule erreur, celle de s'en prendre aux soldats d'élite. Pourquoi les ont-ils tués alors qu'ils en savaient si peu sur eux ? Pourquoi abattre leur meilleure carte et nous laisser savoir qu'ils étaient au courant des mouvements de la Base ? Thaïs regardait le Major Général alors qu'il parlait. Apparemment, il avait l'intention de rester. Secouant la tête, elle se demanda quel avait été le but de cette putain de bagarre, et comment le brun pouvait encore arriver à penser et à analyser.

La courte lutte avait certainement prouvé a au noiraud qu'elle pouvait être utile et qu'elle pouvait parfaitement prendre soin d'elle-même. Elle se passa une main sur le visage en soupirant, et essuya un peu de sang ; elle se secoua et laissa sa veste glisser le long de ses épaules. Son dos lui faisait un mal de chien, et elle siffla quand le poids de sa veste tomba sur son poignet endolori.

— Si j'étais infiltré, je les aurais tués s'ils avaient découvert qui j'étais, murmura-t-elle.

— Exactement. S'ils avaient découvert qui tu étais, répondit-il en enlevant son tee-shirt détrempé et le jetant dans un coin. Mais ils n'étaient apparemment pas près de le découvrir, ou ils en auraient parlé à quelqu'un. Lopez et Reid n'étaient pas les genres à travailler sans filet.

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 01, 2023 ⏰

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