Chapitre 3 : Délire

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La folie me guette chaque soir.
Elle cherche mon beau désespoir.
Elle se dépêche d'arriver.
Je ne suis que l'oublié.

Elle était juste là, mais tu ne la jamais remarqué.
Elle s'est évaporé, les nuits à la
lune rosé.
Où est partie cette âme là ?
Elle qui se trouvait la.
Soudainement je ne sens plus rien
C'est amusant
Je suis moi donc je ne suis rien.
C'est inspirant
Les yeux rivés sur elle
Les abysses me surveille
Mes oreilles coupés.
Celle que j'ai rêvé
Tu me plais toi, je veux te tordre le cou.
Je t'adore toi, traînons nous dans la boue.

Il y a rien d'amusant, rien d'intéressant.
C'est vraiment ennuyant.
Vraiment pathétique.
L'existence est vraiment absurde.

Malgré tout continuons encore d'espérer.
De nous enrouler dans nos propres mensonges.
Nous restons des déchets.

Continuer de manger ces plats insipides
De traîner ce qui reste d'un humain
Continuons donc ainsi à nous dévorer.

Le calme hurle à plein poumons

Les néants doréOù les histoires vivent. Découvrez maintenant