Solitude Vainqueuse

Chapitre 2

Quand Axel rentra dans sa chambre il ne revint pas à son bureau, il s’affaissa dans son lit pensant à la surprise que ses parents avaient cru lui faire en invitant ses grands parents dîner. C’étaient les pires, si les parents d’axel avaient finis par le laisser tranquille, ceux là n’avaient pas compris son état et s’étaient engagéLe jeune homme fit une pause réfléchissant aux personnes qui se trouvaient à vivre avec lui. Sa mère l’avait toujours surprotégé, peut-être était-ce l’origine de sa timidité. Son père quand à lui avait toujours été dans un esprit de travail, les plaisirs venaient après. Il était fils unique, ses parents avaient jugé qu’un enfant suffisaient peut-être regrettait-ils à présent. Axel examina le stylo, la personne qu’il l’avait perdu ne devait pas le regretter tant que ça, il n’était pas particulièrement beau. Le jeune homme regarda de plus près l’encoche, il y glissa son ongle, mais rien ne se passa
«  à quoi je m’attendais ? » pensa le garçon. Il quitta sa chambre appelé par ses parents pour manger. Il ne remarqua pas avant de partir le stylo changeant de couleur.
à le sortir de là. « quelle aubaine, il me manquait vraiment que ça ». Ce soir, ses parents à son plus grand malheur racontèrent ses péripéties de la  journée, il eu droit à une série de discours moralisateur sur la mort et le suicide. Axel avait conclu par « merci de me donner encore plus de raison de me tuer »ce dont il était pas peu fier, faire peur à ces adultes qui savent qu’ils ne contrôlent plus rien du jeune adolescent. Sur ce, il plongea dans un sommeil sans rêve dont il se tira lors d’un frais début de matinée. Ses pensées revenaient à la veille et à son nouveau bien acquis, il retourna se pencher sur son journal, et remarqua avec étonnement la couleur du stylo «  était il aussi rouge hier ? » arrivant à la conclusion qu’il ne se souvenait pas il continua d’avance son journal
«  j’ai eu beaucoup d’amis, j’étais du genre à sympathiser avec tout le monde sans jamais trop parler, les gens me trouvaient marrant et intéressant, mais je ne m’ouvrait jamais à eux en revanche J’avais été le confident d’un grand nombre de personne en particulier de filles. Peut-être ma timidité leur faisais prendre confiance sur ma personne, j’ai arrange beaucoup d’histoire mais personne essayait d’arranger la mienne. Je me sentais seul, j’étais seul au fond de moi, seul entouré de plusieurs personnes. Je n’ai garde à la fin qu’un seul ami, ange, son nom lui allait très bien, il était là perfection même, tout le monde l’adorait, les filles se jetaient à ses pieds l’implorait de sortir avec lui. Je n’étais pas jaloux car au final lui aussi se confia à moi, et je pus ainsi avoir sa vision sur la vie, la vie fut que nous avions la quasi-totalité de nos pensées communes, on se rapprocha au fur et à mesure du temps jusqu’à devenir inséparable. Mais maintenant tout est finis, ange a trouvé un sens à sa vie, étant orphelin son rêve le plus cher était de trouver des parents, ainsi il y a deux ans, son bonheur arriva, il m’arracha mon meilleur ami de ma vie l’emmenant loin de moi et me laissant encore plus seul qu’avant. Ange m’avait promis avant de partir pour un nouveau pays qu’il m’écrirait autant de fois que ses mains le lui permettraient. Résultat je ne reçu qu’une lettre me confirmant qu’il était bien arrivé et que les personnes de son lycée étaient très accueillante. J’appris par une connaissance qu’il avait une copine, et qu’ils étaient tous les deux très amoureux. Je n’étais toujours pas jaloux, juste triste de cet abandon. Au lycée je perdis de plus en plus d’ami, peut être du à cette cause, je ne me sentais pas entier, pas capable de rire autant. » Axel médita sur ces dernières ligne, son ami lui manquait et le sentiment était plus cruel parce qu’il savait que ce n’était pas réciproque. Il reporta son regard sur les pages, l’encre était rouge, contrairement à hier, ce rouge rappela à Axel le sang sur ses poignets lorsque lors d’accès de tristesses et de folies, les lames du rasoir se promenaient sur sa peau. Axel laissa son regard s’attarder sur ses cicatrices qui avec l’été allait s’annonce plus voyantes et dures à cachées, mais avec les années, Alex avait développé plusieurs stratégies.