𝙶𝚊𝚣𝚎𝚋𝚘𝚣𝄂Angry/S. Kawata x oc

☁️

{6}

Bell

Je me suis réveillée le lendemain heureuse et comblée.

J'avais sauter le pas avec Souya et maintenant je sais qu'il m'aime.
Je suis soulagée de savoir ça car honnêtement j'ai cru me faire des films.
Je lui avais dis que je l'aimais pendant l'acte et je le pensais vraiment mais je ne sais pas si il a vraiment compris que j'étais sincère.

Peut-être qu'un jour je devrais lui parler plus franchement de mes sentiments.
J'avais passer toute la journée a pensé à ce que je devrais lui dire le moment venu.

Je regarda la pendule au dessus de ma tête de lit et vu qu'il était presque vingt heures. Instantanément je sentis la faim me travailler l'estomac. Je sortis de ma chambre et décida de descendre à la cuisine histoire de voir si il n'avait pas quelques choses de prêts ou dans le cas contraire quelque chose que je pourrais me préparer.

Je passa par le salon et m'arrêta devant celui ci en voyant que Madarame ce trouvait à l'intérieur , entrain de fermer les derniers boutons de son uniforme de gang.
Je fronça les sourcils me demandant pourquoi il faisait ça maintenant et où il allait .
Il me vit dans le reflet du miroir en face de lui et souris avant de se tourner vers moi.
- coucou ma petite chérie dit il avec une voix qui me donna envie de le tarter
Il courru vers moi puis me pris dans ses bras sans que je ne comprenne vraiment pourquoi.
Je lui rendit cependant son etreinte étant quand même heureuse de cette marque d'affection qu'il ne m'a pas donner depuis longtemps.
Il se détache de moi puis me regarde avec un grand sourire que je ne lui connaissait pas.
- ce soir je suis pas là je pars me figure contre un autre gang mais je reviendrai t'inquiètes

J'hoche la tête et lui sourit timidement.
Il se redresse de toute sa hauteur et me regarde de haut en bas.
Je devine un sentiment malsain a l'intérieur de ses yeux sombres e qui me fait automatiquement me mettre sur mes gardes.

-je passerai le bonjour à ton ami aux cheveux bleu au passage je suis sûr qu'il sera ravie de se recevoir mon poing dans la gueule

Mon visage devient pâle alors que je le voyais esquisser un sourire mauvais.
- q-quoi..?

- ne fait pas l'ignorante Sorinna je t'ai vu depuis quelques mois tu rentre très tard à la maison et je me suis demandée pourquoi parceque même si tu finissait tard la semaine le weekend ça t'arrivais aussi de rentrer à pas d'heure

Je fronce les sourcils et le dévisagea.
- et alors qu'est ce que ça peut te foutre putain!? De toute façon t'es presque jamais la !
Il me saisit par la mâchoire avec violence puis me rapprocha de lui .
- ce qui me dérange c'est pas de ce que tu fais de ton corps petite idiote mais c'est le faite que tu te donne a un de ses connard du Toman ! Tu la laisser te toucher hein?!
- non je l'ai pas-
- tu sais quoi j'en ai rien à foutre qu'il t'es touché ou même baiser ce soir je compte bien l'envoyer six pieds sous terre ! Et tu sortiras plus jamais de ta vie

Son sourire malsain s'est accentuée ce qui me fit bouillir de rage. Je cogna mon front contre son nez et le saisis par le col alors qu'il gémissait de douleur.
- JE TE PRÉVIENS ESPÈCE DE CONNARD TU LAISSE SOUYA TRANQUILLE ! J'EN AI RIEN A FOUTRE DE CE QUE TU PENSE ! JE L'AIME QUE ÇA TE PLAISE OU NON ET PUIS JE PRÉFÈRE ENCORE PASSER SOUS UN PUTAIN DE BUS QUE DE T'ÉCOUTER ME DICTER MA VI-
Je n'eu pas le temps de finir ma phrase que je sentis son poing s'abattre sur mon visage. Je tituba mais réussi à lui envoyer un coup dans le ventre. Il gémis de douleur et grogne. Je le regarda dans les yeux puis fis pris de panique en voyant la haine qu'il laissait transparaître dans ses iris noir. Je cours vers l'escalier mais il me rattrape et me fait tomber au sol. Je me prend le menton contre une des marche et lâche un couinement de douleur. Il me porte et me jette au sol alors que je me débattais pour qu'il me laisse tranquille. Malheureusement Madarame a plus de force que moi et je finis compresser par son poids.
Il s'apprêtait à me frapper dans la mâchoire quand soudain nous entendîmes quelqu'un klaxonner devant chez nous. Nous nous figeames, restant dans le silence quelques minutes alors que nos souffles étaient la seule chose qui résonnait dans la pièce.