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Je fus conduit dans un grand bâtiment et vis Laos être amené dans les écuries de ce même bâtiment. Il m'emmena au sous-sol et me fit entrer dans une cellule avant de me menotta au mur de la pièce. Je remarqua alors que gros sourcils nous suivait.
— Erwin : bon T/p comment ça va ?
— T/p : je savais pas qu'on était amis monsieur ? dis-je avec ironie, irrité de son ton aussi blasé alors que je viens de perdre la routine que je m'étais construit jusqu'ici.
— Erwin : cette petite fille qui était sur le mur, c'est ta sœur ?
— T/p : non lâchez moi un peu avec elle.
Je ne veux pas la mêler à cette histoire, c'est mieux pour elle de faire semblant qu'on se connait pas.
— Erwin : qu'est-ce que vous faisiez là-bas ?
— T/p : ...
Le nain se crispa, je sais que ne pas répondre l'énerve, et j'avoue que c'est drôle de le voir rager dans sa barbe.
— Erwin : nous nous reverrons demain, j'ai un marché à te proposer.
Mes deux accompagnant sortirent et m'enfermèrent dans cette triste petite cellule. Il n'y avait rien ici, un semblant de lit qui était plus un assemblage de morceau de bois accroché au mur, un seau dont je ne veux pas connaitre l'usage, et un vieux lavabo qui ne demande qu'à être nettoyé. Je me prépara pour plusieurs heures de solitude qui ne me dérange pas plus que ça, mais le bruit de la porte de la cellule qui s'ouvre à nouveau me sort de mon semi repos.
C'est alors que je constate que le nain est de retour, cette fois-ci avec une trousse médicale dans la main. Il prend bien le temps de refermer la porte derrière lui avant de s'approcher du lit sur lequel j'étais couché.
— T/p : vous êtes soldat et médecin ? On voit pas ça tous les jours.
Il ne répondit pas, se contentant de s'assoir sur le lit à son tour et d'ouvrir la trousse. Je me redressa et m'assis en tailleur.
— T/p : ne vous fatiguez pas à vouloir prendre soin de moi, je pense que vous en avez plus besoin. Dis-je en lui effleurant la joue avec mon index pour lui désigner la coupure que je lui ai fait il y a quelques heures.
Je crois qu'il est fatigué et que mon coup de la charrette l'a irrité, parce que ma dernière remarque le fit craquer. Il me prit par le col et me plaqua sur le lit.
— Livai : écoute moi bien gamine, j'ai pas le temps de jouer avec toi. Je suis juste là pour te soigner sous ordre de Erwin parce que Hanji est trop occuper avec les blessés de l'expédition, sinon si je me serai bien passé de revoir ta gueule !
— T/p : un homme aussi neutre de l'extérieur qui pète un câble si facilement, qui le cru.
J'avoue je cherche la merde mais c'est pas comme si ma présence ici était consentie. Malgré ma remarque il reprit son self contrôle et se releva, me tirant en avant pour me relever au passage.
— Livai : donne tes poignets. Ordonna-t-il sans aucune douceur.
Après une bataille de regard qui ne dura que quelques secondes, je compris que peu importe ma réponse, il ne comptait pas s'en aller sans me bander mes blessures, alors je m'exécuta. Mais quand je le vis sortir du coton et une bouteille que je pourrais reconnaitre entre mille, je retira tout de suite ma main.
POV Livai
— Livai : je peux savoir ce que tu fais ?
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[Snk] Retour aux Sources [Livai x reader]
Fiksi PenggemarJe m'appelle T/p, je vis à l'intérieurs du mur de rose. Après l''attaque de ce dernier par les titans, je n'est pas pu sortir pour me mettre à l'abrie et me suis donc caché avec une petite fille qui a perdu ses parents dans l'attaque. Les mois, les...