✎ Adrien déjà bien connu.
Marinette après tant de travail et d'acharnement atteint enfin sont but ultime : avoir sa propre marque de vêtements.
Tout deux destinés à être ensemble.
Mais Chloé n'est pas du tout d'accord avec cela ! Ronger par la jalo...
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La fraîcheur de ses doigts se posa sur ma fleur intime. Cela m'électrocuta le corps entier, je fermai les yeux en fondant sur ses lèvres les mains sur ses joues. Adrien était doué avec ses doigts, il savait comment s'y prendre pour retourner mon esprit et broyer ma raison. Avec lui, j'avais toujours le malheur de perdre la notion du temps. J'oubliais presque mon nom...
— O-Oh... Soupiré-je d'extase alors qu'il titillait de son pouce mon clitoris si sensible et si humide désormais. En même temps, je sentais son majeur s'introduire en moi, la moiteur de mon intimité le fit glisser et entrer avec une facilité déconcertante.
Je quittai ses lèvres en soupirant chaudement contre ses lèvres pulpeuses, gourmandes et si appétissantes. Les yeux mi-clos il se mit à faire des vas et vient en courbant son doigt. Ces gestes décuplèrent mon plaisir, je rejetais la tête en arrière, il passa une main dans mon dos et plongea son visage dans mon décolleté. À travers le tissu de ma robe je sentais ses baisers humides sur mes pointes.
— Hmm... Mordis-je ma lèvre de toutes mes forces afin de retenir la chaleur qui se transformait en brasier à chacune de ses caresses.
Voluptueuses.
Tendres.
Et toujours trop douces...
— Tu vas atteindre le ciel, Princesse. Et ne plus jamais atterrir pour rester avec moi. Murmura Adrien contre le tissu d'une voix suave. Son souffle était si chaud qu'il me fit frissonner.
Mais quand je voulus me redresser mes jambes se mirent à trembler.
Mince...
La chaleur grimpa si vite. Son pouce appuya contre mon clitoris et fit des ronds dessus, légèrement, d'une humeur frustrante, il ne faisait que me frôler tandis que son annulaire s'ajoutait à son majeur.
Quel bonheur que le sentir.
Adrien laissa lentement mon corps tomber en arrière et le déposa sur la table, je levai les bras en tournant la tête les yeux fermés pour être encore mieux submergée par ses mouvements d'une lenteur puis d'une férocité désarmante. La luxure de ses vas et vient, la brutalité du bout de ses doigts cognant contre mon poing g.
J'allais mourir dans ses bras ! mais quelle mort délicieuse...
Je sentis une main brûlante glisser sur ma poitrine, Adrien crispa sa main sur mon sein et alors ses doigts pétrirent durement ma peau. Je pointais comme je ne l'avais jamais fait, l'excitation me vidait de toute mon énergie. Quelque part il m'usait et j'aime être ainsi maltraité. Sa torture était au fond la seule chose que je n'avais jamais autant désirée de toute ma vie.
Adrien me donnait une seconde vie. Une existence sans douleur ou le plaisir brûlait et consumait tout pour ne laisser que des cendres. Le bonheur, la plénitude, le sexe...
— Continue, encore... M'entendis-je le supplier les esprits embrumés par un voile de séduction trop épais.
Je ne me reconnaissais pas et pourtant je n'éprouvais aucun remord et être une femme pleinement assurée par son corps qui revendiquait ainsi ses désirs avec assurance et plénitude. J'étais complément décomplexée.
Désespérée, je relevai un peu ma jambe et les écartais pour intensifier la profondeur de ses gestes. J'étais trempée, prête à l'accueillir toute la nuit. Tous les jours. Toute la vie. Pour toujours et à jamais en moi et à moi.
Il sourit contre mon oreille. Je fus envahi par une vague intense et bouleversante de frissons.
— Dit encore que ce n'est rien.... Et plus jamais tu ne goûteras à ça.
Il mordit mon lobe sensuellement entre ses dents. Pas assez fort pour me faire mal mais suffisamment pour me rendre encore plus transpirante et haletante que je l'étais déjà. Mon cœur s'emballa dans ma poitrine, devint fou. — Tu me rends folle... Confessai-je dans un gémissement incontrôlé tandis qu'il descendait lentement ses baisers humides et brûlants dans mon cou.
Laisse ta marque.
Dit au monde que je t'appartiens.
Et peut-être que je ne partirais plus.
Violemment, on toqua à la porte. J'écarquillai les yeux brutalement et me redressai aussitôt, Adrien remettait mes bretelles et retirait ses doigts aussi vite qu'ils avaient filé.
Je repassai les plis de ma robe en me raclant la gorge, le ventre noué et débarrassé de la moindre extase en un rien de temps. Les cheveux en bataille, je m'attelai à de gros gestes brusques et les recoiffai correctement au moins pour qu'ils soient présentables.
Le coiffé décoiffé n'était-il pas à la mode ?
Pas la coupe sauvage after sex, réprimanda ma conscience et je piquai aussitôt violemment un phare. Mes joues se mirent à me brûler tandis que j'évitais le regard d'Adrien comme si soudainement ma vie en dépendait.
Seigneur mais qu'est-ce que j'avais fait.... ?!
— Entrez. Autorisai-je et la porte s'ouvrit sur ma secrétaire légèrement paniquée, elle ne fit même pas attention à l'atmosphère oppressante installée dans la pièce.
— Madame un homme vous demande, il s'agit d'un de nos investisseurs. Il semble très contrarié. M'annonça-t-elle tremblante.
Je fronçai les sourcils. Puis hochai la tête.
— Très bien, je m'en charge. Répondis-je en tournant les talons sans jeter un regard en arrière.
Adrien me fixait et il brûlait mon dos mais je préférais pour l'instant m'occuper de l'urgence qui s'imposait à moi. Il pouvait bien attendre et mon humiliation suprême également...
De toute façon après ce qu'il venait d'arriver on pouvait dire que j'étais foutu...
La frustration est présente, mais ne vous inquiétez pas ce n'est que partie remise ! On attend vos retours en commentaires! À la prochaine!🐯
