𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐈

172 8 0
                                    

-ˋˏ ˎˊ-

Marinette

La foule qui regroupait les personnes les plus connues du monde entier, réunissait dans un même endroit des candidats mais avant tout des rivales

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


La foule qui regroupait les personnes les plus connues du monde entier, réunissait dans un même endroit des candidats mais avant tout des rivales.

J'étais d'ailleurs, très surprise de voir autant de monde cette année. Il y avait au moins dix mille personnes.

Un nombre important quand on regardait bien la taille de l'énorme pièce, où nous attendaient sagement des fauteuils sur lesquels nous serions assis en attendant l'appel des vainqueurs de cette année.

Qui serait sur le podium ?

C'était la question qui s'écoulait de toutes les bouches. Même de la mienne.

Encore une fois, je m'asseyais au troisième rang, et voyais Adrien se pointer face à moi alors que je m'installais déjà.

Il me sourit. Et je fis pareil.

— C'est un plaisir de te revoir. Me dit-il, avec un grand sourire et les yeux brillants.

J'eus chaud d'un seul coup. Toutefois, je rougis un peu en lui souriant.

— Ce plaisir est partagé. Le rassurai-je, d'une voix timide.

Et alors qu'il prenait place à ma gauche, je tournais déjà la tête face à moi pour voir Chloé et Lila s'asseoir au premier rang.

Elles prenaient toujours les mêmes places depuis deux ans, maintenant. C'était dans leur habitude.

Mais je ne les critiquais pas. Je faisais pareil, moi aussi.

— Tu penses me battre cette année ? Me demanda Adrien.

D'un calme légendaire, je tournais mon visage dans sa direction.

— Oh tu sais, rien n'est jamais sûr. J'espère néanmoins que tu t'es donné à fond cette année. Répondis-je.

Mes lèvres lui sourirent. Et il fut un peu surpris, mais l'éclat d'étonnement que je vis dans son regard disparu très vite. Pour tout de suite être remplacé par une malice rassurante, dont seul lui en avait le secret.

— Toujours aussi gentille. Comme chaque année. Décidément, tu ne changeras jamais. Fit-il remarquer, accoudé à l'accoudoir en velours de son fauteuil rouge.

Désire ParfaitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant