The Fallen Angel

Chapitre.2.

Inconnu: Aidez-moi s'il vous plaît...

L'inconnu qui était tombé devant toi c'était évanouit. Mais avant que tu n'aies pu dire où penser quoi que se soit deux autres inconnus arrivent devant ta porte. Tu es un peu étonné de voir trois personnes, dont un évanouit, devant chez toi à deux heures du matin, mais le plus étonnant n'est pas sa mais le faite que les deux inconnus devant toi aient tous les deux des flingues. Le plus petit des deux range son flingue et se penche vers l'homme qui c'est évanouit peu de temps auparavant.

Petit inconnu: Ran viens m'aider à le porter.

Ran: J'arrive.

Ran prend l'homme à terre et le met sur son dos. Puis il se tourne vers toi suivit de son coéquipier. Ils te regardent puis le plus petit prend la parole.

Petit inconnu: Désolé pour le dérangement.

Toi: Euh...

Tu ne sais pas quoi dire étant donné que tu viens de voir deux inconnus avec des flingues à la main. Mais un détail te gênes depuis tout à l'heure, tu as l'impression de les avoir déjà vu quelque part. Tu les détailles un peu plus jusqu'à remarquer leur tatouage sur leur cou.

Toi: Le Bonten ?

En réalisant ce que tu venais de dire tu mis automatiquement tes mains devant ta bouche. Tu as horreur de tenir des propos sans savoir si ils sont vrai. Mais là tu en es sur, sûr qu'ils font partis du Bonten. Ce tatouage est le même que celui de ton frère porte voilà ce pourquoi tu es sûr qu'ils en font partis.

Toi: Désolé j'aurais pas dû dire ça.

Ran: Ne t'inquiète pas nous allons rien te faire, se n'est pas notre objectif.

Petit inconnu: À part si tu nous vends aux autorités.

Ran: Rindo ne sois pas aussi froid avec cette ravissante demoiselle.

Toi: Je vous vendrais pas aux autorités soyez en sûr, vous avez ma parole.

Rindo: Et comment on peut en être sûr ?

Toi: Parce que si je vous vends aux autorités je vends aussi mon frère.

Ran et Rindo: Ton frère ?

Toi: Oui.

Ran: Et qui est-ce ?

Toi: Hajime Kokonoï.

Ils te regardent avec des yeux ronds comme des billes, en même temps sa paraît surréaliste que kokonoï Hajime est une sœur. Tu les regardes attentivement attendant une réaction de leur part mais rien, ils sont comme figés. Pour les réveiller tu passes ta main devant leurs yeux.

Ran: Rindo appelles Koko.

Rindo: Ouais attends.

Rindo fouille dans ses poche de pantalon avant de sortir un téléphone. Il cherche dans son répertoire le numéro de leur trésorier.

Appel Rindo à Koko

Koko: Oui ?

Rindo: C'est vrai que tu as une sœur ?

Koko: Oui mais comment tu sais ça ?

Rindo: On est devant l'appartement d'une nana qui prétend être ta sœur.

Koko: Mes les haut parleur.

Rindo met le haut parleur.

Toi: Salut frangin.

Koko: Salut soeurette. Et vous deux je peux savoir ça que vous faites devant chez ma sœur ?

Ran: Alors c'est vraiment ta sœur ?

Koko: Oui mais sa répond pas à ma question.

Rindo: Le mec qu'on devait chopper à frappé chez elle.

Koko: T/p c'est vrai ?

Toi: Oui.

Koko: Ok. Les frères Haitani vous vous rentrez quand à toi, T/p on se voit samedi prochain.

Sur ses derniers mots ton frère raccroche aux nez des deux frères. Rindo range alors son téléphone dans sa poche puis il te regarde droit dans les yeux. Quand à lui Ran , il te dévisage ce que tu trouves assez malaisant et gênant. Tu les regardes à tour de rôle ne sachant pas lequels regarder. Ran tourne alors les talons puis commence à partir.

Ran: Au revoir T/p, désolé du dérangement encore une fois et de ce petit malentendu. Bon tu viens Rindo.

Rindo: Ouais j'arrive. Au revoir T/p et désolé.

Toi: C'est pas grave. Au revoir.

Après t'être bien assuré qu'ils sont partis, tu rentres dans ton appartement. Tu fermes la porte à clé puis tu t'adosses à celle ci. Tu souffles un bon coup et tu pars en direction de la cuisine pour boire un grand verre d'eau. Après avoir bu celui ci tu te diriges vers ta chambre. Tu ouvres la porte puis tu l'as referme derrière toi. Tu t'approches de ton lit et tu t'écroules dessus. Ton réveil indique qu'il est trois heures et demi, tu souffles puis tu te mes sous la couette. La journée de demain va être dur c'est ce que tu te dis actuellement. Tu as eu de la chance de ne pas te faire tuer par ces deux frères mais c'est ton frère qui t'as sauvé la mise en répondant au téléphone. C'est que ces dernières paroles que tu tombas dans les bras de Morphée.

À suivre...