Marque Rouge Sang (Luck &/x Magna) (Black Clover)

Chapitre 2 : Marques

Le soir de la première journée de réparation, tout le monde se rassembla dans ce qui était devait la place du village avant la bataille. La plupart des villageois avaient toujours peur de Luck et refusaient de s'approcher de lui. Ils refusèrent de le laisser aller dans leur campement en ayant comme argument le fait qu'il allait tout détruire de nouveau.

Vanessa demanda quelques chose dans le creux de l'oreille de Finral, pendant que Magna défendait son meilleur ami avec « l'aide » d'Asta qui ne faisait qu'hurler. Noelle et Secre essayait temps bien que mal de calmer le mage d'anti magie. Après que le mage est approuvé la demande de la sorcière, celle-ci demanda l'attention de tous pour annoncer :

- J'ai une solution, Finral va ramener ce qui veulent à la base et nous reviendrons demain matin. Comme ça, tout le monde est content.

L'Enoteca tentait de calmer la pression qui s'était installé entre le Swing et les villageois. Le mage de feu avait très bien compris qu'il ne laissera personne insulter le blond, en tout cas, pas depuis qu'il a découvert la grande instabilité et fragilité de son mental.

La petite équipe se sépara donc en deux groupe, ce qui reste au village et ceux qui rentre au QG. Asta voulait rester pour pouvoir commencer plus tôt les travaux, Noelle et Secre voulait le surveiller et décidèrent donc de rester au village. Le reste ; Finral, Vanessa, Magna et Luck, rentrait à leur base et reviendrait le lendemain matin.

Le mage spatial ouvrit un portail, à travers lequel on apercevait la porte du grand bâtiment que la compagnie du Taureau Noir utilisait comme maison et lieux de rassemblement. Les quatre mages passèrent le portail sous les yeux des villageois, avant que celui-ci se referment.

Quelques personnes vinrent vers les trois utilisateurs de magie restant pour leurs indiquer le lieu qui leur servirait de chambre. Tandis que les autres chevaliers mages, qui étaient rentré chez eux, se demandaient ce qu'ils allaient manger.

Finalement, la sorcière se leva pour faire le repas, rapidement suivi par le garçon au cheveux vert, qui voulait s'assurer qu'elle ne mettrai pas le feu à la cuisine.

Le mage de foudre, qui pendant toute la journée se sentait maladif, allait un peu mieux. Depuis qu'ils étaient revenus dans ce lieu, que le blond connaissait si bien, il pouvait ressentir les restes de mana de ses coéquipiers un peu partout dans le bâtiment. Ça le rassurait.

Le mana de chaqu'une des personne de se qui formait sa « famille » était différent ; celui de Yami était un peu inquiétant, celui de Noelle est instable, on aurait dit que celui de Gray essayait se cacher... Il pourrait continuer à faire la liste de toutes les différences entres les manas, mais ça serait trop long. Le mana qu'il préférait était sans aucun doute celui de Magna, il lui faisait penser à un feu de cheminée, il se sentait en sécurité à proximité de la douce chaleur qui émanait de la magie de son meilleur ami.

- Ça va mieux ? Demanda le Swing en regardant son meilleur ami, un peu inquiet.

- Oui, ne t'inquiètes pas, je vais super bien ! Répondit celui-ci avec son éternel sourire au lèvre et la même énergie que d'habitude. On fait un petit combat ?

- Non, je suis épuisé par cette journée, comment tu fait pour avoir toujours autant d'énergie ? Dit le mage de feu en s'allongeant sur le canapé pendant que le blond sautillait en faisant des coup de point dans le vide.

Alors que Magna rêvasse dans un fauteuil et que Luck se bat contre le vide, Vanessa et Finral avait préparé le repas, sans déclencher un incendie, ce qui relève du miracle.

Ils mangèrent tranquillement en discutant de tout et de rien. La cuisine n'était pas aussi bonne que celle de Charmy, mais ça restait très bon quand même. Le taureau noir n'est pas du genre à chipoter sur la nourriture, certain venant de petit village au fin fond du monde ou d'autre ayant été renier par leur famille. Le fait d'avoir un toit solide au dessus de leur tête, de la nourriture fraîche et, surtout, le fait de pouvoir être tous ensemble comme une grande famille leur suffit amplement.